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Le gouvernement compte "travailler" sur une "durée minimale" de réservation préalable pour les VTC, et "clarifier la définition de la voie publique", réservée aux taxis.
Il évalue aussi la possibilité de mettre en place un "agrément" pour autoriser les plateformes de VTC à exercer en France. L'agrément serait retiré "en cas de manquements fréquents au respect de la réglementation par les chauffeurs", a précisé le ministère des Transports.
Les représentants des VTC sont convoqués lundi 2 juin et leurs plateformes (Uber, Bolt) le 3 juin. Le gouvernement veut aussi réviser la voie d'accès par équivalence, qui permettait à des chauffeurs avec un an d'expérience dans le transport de personnes de devenir VTC.
Le gouvernement veut aussi faire en sorte que "les sociétés de rattachement, qui sont des sociétés écrans localisées à l’étranger permettant de contourner les obligations sociales et fiscales, disparaissent", a précisé le ministère.
"Je vais clairement leur demander des explications" sur ce système, pour que les plateformes "ne puissent pas s’exonérer de certaines règles", a souligné M. Tabarot.