La différence avec ton exemple de manager c'est que l'évasion fiscale d'Uber impacte directement le chauffeur qui doit payer la TVA d'uber sur la commission .
Le fait qu'uber fasse du salariat deguisé. Ça impacte directement le chauffeur qui paie les cotisations à l'URSSAF au lieu d'uber .
Si je suis manager y'a rien qui m'impacte je suus salarié. Je m'en tamponne .
et évite d'employer l'expression " ouin ouin " avec moi .
tu mélanges tout.
L' évasion fiscale dont tu entend parler dans les médias n'a rien à voir avec l'histoire de tva de Uber.
Il n'y a pas que Uber qui fait ça n'est ce pas??
L'evasion fiscale, en gros, ça consiste à ne pas déclarer, ou le moins possible, de bénéfice en France.
Je te donne un exemple simple.
Quand Apple France te vend un iPhone, elle le rachète au prix fort à Apple US. Du coup bénéfices ridicules sur le territoire Français.
Donc moins d'impots.
Ca c'est de l'optimisation fiscale ( ou évasion si tu préfères). A ton échelle tu fais pareil.
Les salariés bien payés de ces grosses boites vivent et payent des impots, ils participe à l'économie du pays.
Tu coup tu n'a pas répondu à ma question :
si tu es salarié d'une grosse boite pratiquant ce genre de montage tu vas faire quoi?
tu mélanges tout.
L' évasion fiscale dont tu entend parler dans les médias n'a rien à voir avec l'histoire de tva de Uber.
Il n'y a pas que Uber qui fait ça n'est ce pas??
L'evasion fiscale, en gros, ça consiste à ne pas déclarer, ou le moins possible, de bénéfice en France.
Je te donne un exemple simple.
Quand Apple France te vend un iPhone, l'e le rachète au prix fort à Apple US. Du coup bénéfices ridicules surle territoire Français.
Ca c'est de l'optimisation fiscale ( ou évasion si tu préfères). A ton échelle tu fais pareil.
Tu coup tu n'a pas répondu à ma question :
si tu es salarié d'une grosse boite pratiquant ce genre de montage tu vas faire quoi?
Lol on peut s exprimer et uberzone est fait pour ça après moi je suis pour une liberté d expression total après si on aime pas on est pas obligé de Lire ou répondre après faut être tolérant on a pas la même vie ni le même parcours de vie mais c est dans ce métier seul les robuste tienne le coup et ce métier n est pas fait pour tout le monde et tout le monde sait ce que il a affaire.
Tu prends juste en compte ce que tu considères comme valable pour le terme, on peut en effet comme toi penser que l'ubérisation n'est que la partie qui transforme des emplois généralement salariés en contrats de prestation par un indépendant, est ça semble valable si on s'en tient à ça.
Mais l'ubérisation a bien dès sa conception pour objectif principal de faire baisser les coûts pour une entreprise dans un secteur donné, ce qui lui permets en retour de faire baisser les prix.
Sinon pour en revenir au sujet de base du topic, à savoir les difficultés rencontrés par les chauffeurs, on oppose souvent les chauffeurs full appli à ceux qui font plus ou moins de privé, et assez régulièrement des membres de la seconde catégorie nous font un discours sur l'entreprenariat et tout ça, mais il a un truc que je n'ai pas vu abordé dans ce topic et qui est il me semble très important.
Dans le groupe des vtc full appli ou presque, il y a d'importantes disparités de conditions de travail et de revenus finaux, qui peuvent donc donner autant de ressentis différents quant au métier.
Un chauffeur qui comme moi est propriétaire de sa voiture sans crédit sur le dos, de plus électrique rechargée à pas cher, qui vit dans une ville du 92 où il peut attendre sa première course sur son parking sans que ça mette longtemps va forcément mieux supporter le taf qu'un autre chauffeur qui bosse pour quelqu'un en rattachement, lui loue une berline diesel qui fait du 8L en ville pour un montant tel qu'il doit bosser la moitié du mois ou plus avant de gagner un centime, et je parle même pas de ceux qui sont payés au pourcentage du CA effectué.
Si un chauffeur dans la seconde situation, ou une autre pas bien meilleure, se plaint de son travail, ça ne me choque pas du tout et franchement jamais ça me viendrait à l'idée de lui dire "t'as qu'à faire autre chose si t'est pas content" car je n'ai aucune idée de ses conditions de vie, il n'a peut être pas trop le choix en fait.
Enfin pour ceux d'entre nous qui s'en sortent correctement, soyez compréhensifs envers ceux qui se plaignent, VTC n'est malheureusement pas un métier où il suffit d'être motivé et de travailler dur pour s'en sortir, y'a des situations dans lesquelles c'est juste impossible.
Tu prends juste en compte ce que tu considères comme valable pour le terme, on peut en effet comme toi penser que l'ubérisation n'est que la partie qui transforme des emplois généralement salariés en contrats de prestation par un indépendant, est ça semble valable si on s'en tient à ça.
Mais l'ubérisation a bien dès sa conception pour objectif principal de faire baisser les coûts pour une entreprise dans un secteur donné, ce qui lui permets en retour de faire baisser les prix.
Sinon pour en revenir au sujet de base du topic, à savoir les difficultés rencontrés par les chauffeurs, on oppose souvent les chauffeurs full appli à ceux qui font plus ou moins de privé, et assez régulièrement des membres de la seconde catégorie nous font un discours sur l'entreprenariat et tout ça, mais il a un truc que je n'ai pas vu abordé dans ce topic et qui est il me semble très important.
Dans le groupe des vtc full appli ou presque, il y a d'importantes disparités de conditions de travail et de revenus finaux, qui peuvent donc donner autant de ressentis différents quant au métier.
Un chauffeur qui comme moi est propriétaire de sa voiture sans crédit sur le dos, de plus électrique rechargée à pas cher, qui vit dans une ville du 92 où il peut attendre sa première course sur son parking sans que ça mette longtemps va forcément mieux supporter le taf qu'un autre chauffeur qui bosse pour quelqu'un en rattachement, lui loue une berline diesel qui fait du 8L en ville pour un montant tel qu'il doit bosser la moitié du mois ou plus avant de gagner un centime, et je parle même pas de ceux qui sont payés au pourcentage du CA effectué.
Si un chauffeur dans la seconde situation, ou une autre pas bien meilleure, se plaint de son travail, ça ne me choque pas du tout et franchement jamais ça me viendrait à l'idée de lui dire "t'as qu'à faire autre chose si t'est pas content" car je n'ai aucune idée de ses conditions de vie, il n'a peut être pas trop le choix en fait.
Enfin pour ceux d'entre nous qui s'en sortent correctement, soyez compréhensifs envers ceux qui se plaignent, VTC n'est malheureusement pas un métier où il suffit d'être motivé et de travailler dur pour s'en sortir, y'a des situations dans lesquelles c'est juste impossible.
Baisser ses coûts pour faire baisser ses prix ce n'est pas de l'ubérisation mais alors pas du tout.
Encore une fois quand tu vas au supermarché ou que tu t'achètes des tongues , est ce que tu prends ce qu'il y a de plus cher par principe, en pensant au bien être de ceux qui ont fabriqué le produit?
Quand tu prends l'avion t'es plutot AirFrance ou Easy Jet?
Plutot Ouigo ou TGV?
Je suis d'accord, il y a des différences selon ou tu vis, ce que tu as en crédit, etc..,
En fait il faut faire une étude de rentabilité avant de se lancer dans un business, vtc ou autre chose.
Messages Fusionnés
Beaucoup d'indépendants galèrent, pas que dans le transport.
Certains réussissent, d'autres s'en sortent et certains galèrent puis finissent par se tourner vers autre chose.
Mais au départ les règles du jeu sont les mêmes pour tout le monde ( la fiscalité, réglementation,...). donc vouloir trouver des responsables ça ne sert pas à grand chose.
Perso, je n'aurais pas tenté ce taf, dans Paris, avec une voiture en leasing qui fait du 8l/100km, en habitant trop loin, et comme seule option les applis.
L'équation de départ est compliquée mais chacun est libre de ses choix bien sûr.
Je pense que beaucoup de ceux qui se plaignent ont à peu près ce profil.
1- Les horaires de travail (j’évite autant que possible Paris en journée)
2- Les courses (avec l’expérience on peut zapper les pièges GDN ou autres)
3- Les lieux où on exerce (je reste en banlieue et rejoins Paris vers 20h)
Cette méthode m’évite énormément de bouchons et de devoir supporter les comportement de certains conducteurs qui frôlent l’hystérie.
Pour durer il faut la jouer stratégique et modeler ses journées, sinon la santé mentale prend un coup et il y’a le risque du burn-out ou de dépression.
salut ,je m'aperçois que en use beaucoup la santé, ,avec ce travail,les passagers sont devenus de plus en plus con et hautain pour des tarif de cacahuètes, il ya trop de vtc
les prix en chuter
Les bouchons partout ,des sens interdit
et j'en passe
C'est dur de maintenir une motivation
. Histoire de bien te déguster à la fin. Tu seras délicieux pour eux .
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