- 28 Décembre 2020
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- Localité
- Paris
Se lancer dans le VTC aujourd’hui, c’est foncer droit dans un mur. Ceux qui croient encore à la promesse d’indépendance et de bons revenus se font avoir. Uber et les autres plateformes n’ont qu’un objectif : presser les chauffeurs jusqu’à la dernière goutte avant de les remplacer par des voitures autonomes.
Le grand jeu d’Uber : exploiter puis éliminer
D’abord, ils ont attiré des milliers de chauffeurs avec des promesses de liberté et de gains confortables. Ensuite, ils ont baissé les prix, augmenté leurs commissions et laissé les chauffeurs assumer tous les coûts (carburant, entretien, assurance). Aujourd’hui, la rentabilité est en chute libre, et demain, les chauffeurs seront purement et simplement remplacés.
Uber casse les prix non pas pour attirer plus de clients, mais pour tuer la concurrence et rendre le métier invivable. Pendant que les chauffeurs peinent à boucler leurs fins de mois, l’entreprise prépare l’arrivée des voitures autonomes. À long terme, plus besoin de chauffeurs : Uber garde tout le profit, sans avoir à gérer une main-d'œuvre "trop coûteuse".
Se lancer dans le VTC aujourd’hui, c’est un piège
Le pire, c’est que tant que de nouveaux chauffeurs arrivent, Uber peut continuer à tirer les prix vers le bas. Ceux qui entrent dans le système maintenant ne font qu’alimenter leur propre disparition et celle des anciens. Ils pensent trouver une opportunité, mais ils tombent dans un engrenage qui les laissera sans rien dans quelques années.
Ce n’est pas une théorie du complot, c’est la réalité du modèle Uber : exploiter, précariser, remplacer. Et quand il n’y aura plus de chauffeurs, il sera trop tard pour se réveiller.
Rien n’est laissé au hasard
L’abaissement des limitations de vitesse dans Paris et en périphérie, la réorganisation des transports… Tout cela n’est pas un simple hasard. Ouvrez les yeux, voyagez, renseignez-vous. Les plateformes concurrentes sont déjà dépassées, leurs chiffres sont mauvais, et celles qui arrivent ne viennent pas pour aider les chauffeurs. Elles sont là pour collecter des données et préparer le terrain pour leurs propres services de voitures autonomes.
Ceux qui pensent que ça arrivera dans dix ans ne sont pas prêts. Ces véhicules circulent déjà ailleurs. Vous croyez vraiment qu’ils vont mettre une décennie à les déployer en France ? Réveillez-vous !
Et pour ceux qui se contentent de suivre le mouvement sans ambition, accrochés aux plateformes comme si elles allaient leur garantir un avenir…
Vous avez déjà perdu.
Le grand jeu d’Uber : exploiter puis éliminer
D’abord, ils ont attiré des milliers de chauffeurs avec des promesses de liberté et de gains confortables. Ensuite, ils ont baissé les prix, augmenté leurs commissions et laissé les chauffeurs assumer tous les coûts (carburant, entretien, assurance). Aujourd’hui, la rentabilité est en chute libre, et demain, les chauffeurs seront purement et simplement remplacés.
Uber casse les prix non pas pour attirer plus de clients, mais pour tuer la concurrence et rendre le métier invivable. Pendant que les chauffeurs peinent à boucler leurs fins de mois, l’entreprise prépare l’arrivée des voitures autonomes. À long terme, plus besoin de chauffeurs : Uber garde tout le profit, sans avoir à gérer une main-d'œuvre "trop coûteuse".
Se lancer dans le VTC aujourd’hui, c’est un piège
Le pire, c’est que tant que de nouveaux chauffeurs arrivent, Uber peut continuer à tirer les prix vers le bas. Ceux qui entrent dans le système maintenant ne font qu’alimenter leur propre disparition et celle des anciens. Ils pensent trouver une opportunité, mais ils tombent dans un engrenage qui les laissera sans rien dans quelques années.
Ce n’est pas une théorie du complot, c’est la réalité du modèle Uber : exploiter, précariser, remplacer. Et quand il n’y aura plus de chauffeurs, il sera trop tard pour se réveiller.
Rien n’est laissé au hasard
L’abaissement des limitations de vitesse dans Paris et en périphérie, la réorganisation des transports… Tout cela n’est pas un simple hasard. Ouvrez les yeux, voyagez, renseignez-vous. Les plateformes concurrentes sont déjà dépassées, leurs chiffres sont mauvais, et celles qui arrivent ne viennent pas pour aider les chauffeurs. Elles sont là pour collecter des données et préparer le terrain pour leurs propres services de voitures autonomes.
Ceux qui pensent que ça arrivera dans dix ans ne sont pas prêts. Ces véhicules circulent déjà ailleurs. Vous croyez vraiment qu’ils vont mettre une décennie à les déployer en France ? Réveillez-vous !
Et pour ceux qui se contentent de suivre le mouvement sans ambition, accrochés aux plateformes comme si elles allaient leur garantir un avenir…
Vous avez déjà perdu.