- 12 Décembre 2019
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- 8 599
- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius
Salut à tous et que la paix soit sur vous,
La question en titre est celle que beaucoup parmi nous doivent ou devraient se poser. Il y'a l'avant COVID : les demandes foisonnaient, les CA étaient corrects et réguliers et tous les chauffeurs travaillaient avec des revenus assez homogènes.
Aujourd'hui la situation a beaucoup changé et s'est fortement dégradée. Les revenus sont aléatoires, incertains et rendraient sceptiques les plus optimistes d'entres nous.
L'avenir n'a pas pas l'air plus joyeux : le COVID semble s'inviter pour une saison 2, les clients n'ont pas repris leurs habitudes et le moral semble être au plus bas...
Faut-il s'armer de patience ou jeter l'éponge ??
En ce qui me concerne, si les CA restent inchangés et que je ne récupère pas 70 à 80% des chiffres d'avant COVID, je ne me vois pas finir l'année en professionnel du bitume...
La question en titre est celle que beaucoup parmi nous doivent ou devraient se poser. Il y'a l'avant COVID : les demandes foisonnaient, les CA étaient corrects et réguliers et tous les chauffeurs travaillaient avec des revenus assez homogènes.
Aujourd'hui la situation a beaucoup changé et s'est fortement dégradée. Les revenus sont aléatoires, incertains et rendraient sceptiques les plus optimistes d'entres nous.
L'avenir n'a pas pas l'air plus joyeux : le COVID semble s'inviter pour une saison 2, les clients n'ont pas repris leurs habitudes et le moral semble être au plus bas...
Faut-il s'armer de patience ou jeter l'éponge ??
En ce qui me concerne, si les CA restent inchangés et que je ne récupère pas 70 à 80% des chiffres d'avant COVID, je ne me vois pas finir l'année en professionnel du bitume...