- 24 Avril 2016
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- Localité
- Paris
Laissons les règles du numerus clausus ou la règle des quotas aux taxis. On parle d'une institution séculaire dont les règles ont été officiellement couchées sur papier il y a 25 ans. Faudrait simplement que l'Etat se sorte les doigts d'ou je pense et qu'il aille taper là ou il faut: saisir les registres des chauffeurs inscrits sur les plateformes et recouper avec le REVTC dans un premier temps. Ce premier coup de balais fait, toujours avec les mêmes registres, recouper l'existence effective aux greffes, RCS et CMA des domiciliations, car les types qui ouvrent une AE, ou une boîte, qui s'inscrivent sur les plateformes, radient 3 mois plus tard leur boîte mais continuent toujours de tourner en ayant prit soin de communiquer un RIB d'une banque hors UE, polluent la profession, ne paient pas de charges et touchent les aides plein pot s'ils sont au chômage ou encore mieux: ils sont contrôleur de station à la RATP et bossent comme chauffeur VTC pendant les jours de grèves...
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