Salut à tous et que la paix soit sur vous,
Pour réguler le nombre de chauffeurs et pérenniser notre profession, on entend souvent nos représentants parler du numérus clausus.
Personne ne niera qu’il s’ agit d’une très bonne initiative.
Par contre, ni les chauffeurs, ni l’ État ne disposent des données collectées par les applis concernant l’ offre et la demande et personne ne pourra les contraindre à nous les transmettre.
A plus forte raison s’il y a un conflit d’intérêts.
Quand bien même ces dernières se prêtent au jeu de la communication, je ne suis pas certain qu’on puisse accorder un grand crédit à leurs chiffres.
Limiter le nombre de chauffeurs, ne doit pas se faire au détriment de certaines règles, dont une essentielle ;
trouver un équilibre (possiblement variable) entre l’offre et la demande :
- Trop de chauffeurs pourraient amener des prix faibles continuellement (chauffeur pénalisé).
- Peu de chauffeur conduirait à une majoration continuelle (chauffeur et client pénalisés).
Cela poussera les clients à s’ orienter vers des transports concurrents.
Ma question est :
Est il possible d’ apporter un équilibre entre l’ offre et la demande sans passer par les données des plateformes ??
Si oui, par quel(s) moyen(s) ??
Les réponses des représentants VTC sont les bienvenues
@pedro92
, pour l'équivalence c'est compliquée. On ne peut pas interdire à un ambulancier ou un chauffeur de bus de ne pas avoir une carte VTC. Le seul moyen est de rajouter une validation par un petit examen moins lourd pour limiter un peu l'entrée...Après plus d'AE, et surtout délivrer une carte VTC au chauffeur si la raison ou l'objet social de l'entreprise correspond aux transports de personnes, cela évitera que tous les livreurs de pizzas fassent chauffeurs à coté de leur livraisons. Interdiction des sociétés avec des capitaux de m..... à 1€ comme on en voit beaucoup, capital mini=1500€ point barre. Les plateformes interdisent aussi les virements sur un compte étranger (hors UE bien sûr) si la société est domiciliée en France. Contrôles et vérification de l'existence de la société via transmission du Kbis ou du bilan tous les ans aux plateformes en amont. Sachant que les banques dans lesquelles sont domiciliées les sociétés doivent aussi faire ce travail en aval.
