Titi
Titi
- 21 Février 2015
- 197
- 205
- Localité
- Toulouse
J'ai interrogé Uber. La réponse est très sibylline : "UBER soutien ses partenaires en cas de difficultés"
Où en êtes-vous ?
J'ai eu l'occasion de prendre un jeune homme apparemment nord-africain d'origine la trentaine ... Dans la discussion je lui ai demandé son métier.. Et là surprise!! Il me répond :" Police nationale".
Oups !! Je lui dis que j'espère ne pas avoir commis d'infraction. Il me réponds que je conduis très bien. Ouf !! LOL
Puis la discussion s'engage sur les agressions des taxis.
"Nous sommes obligés de répondre à leur appel quand ils nous disent avoir chopé un clandestin"
"Et que faites-vous ?" dis-je
"Nous y allons et lorsque nous nous rendons compte qu'il s'agit d'un Uber, nous présentons des excuses et le laissons repartir car UberPoP n'est pas interdit"
"Et pour les taxis qui vous appellent pour rien?"
"Nous leur demandons de ne plus appeler pour les UberPoP".
Ce n'est qu'une expérience récente vécue début février 2015.
Où en êtes-vous ?
Toujours aucun cas d'interpellation connu à Toulouse. Pourquoi sommes-nous épargnés ?
J'ai eu l'occasion de prendre un jeune homme apparemment nord-africain d'origine la trentaine ... Dans la discussion je lui ai demandé son métier.. Et là surprise!! Il me répond :" Police nationale".
Oups !! Je lui dis que j'espère ne pas avoir commis d'infraction. Il me réponds que je conduis très bien. Ouf !! LOL
Puis la discussion s'engage sur les agressions des taxis.
"Nous sommes obligés de répondre à leur appel quand ils nous disent avoir chopé un clandestin"
"Et que faites-vous ?" dis-je
"Nous y allons et lorsque nous nous rendons compte qu'il s'agit d'un Uber, nous présentons des excuses et le laissons repartir car UberPoP n'est pas interdit"
"Et pour les taxis qui vous appellent pour rien?"
"Nous leur demandons de ne plus appeler pour les UberPoP".
Ce n'est qu'une expérience récente vécue début février 2015.