Ou ou pas de salariés !!!Non non justement c'est la seule solution pour payer au %, par le biais de la sous traitance. Sauf que c'est de plus en plus dans le collimateur des institutions car cela se transforme dans beaucoup des cas en du "salariat déguisé" (ta voiture, tes clients, tes bonbons, bref tu es son patron, donc tu dois payer des charges). Les contrôles et la législation va se renforcer concernant ce type de "contrat" avec tout mis a dispo.
Si par contre c'est sa voiture par exemple, ou qu'il travail pour d'autres sociétés c'est de la vrai sous traitance dans ce cas pas de souci (je soustraite des courses et réalise des courses au nom d'autres sociétés sans aucun problème de législation).
[DOUBLEPOST=1442923661,1442923494][/DOUBLEPOST]Pour rebondir sur le titre du post : Bosser pour quelqu'un cela paie, si ce n'est pas pour faire de l'application.
Mon avis perso (il vaut ce qu'il vaut, pas grand chose surement big:
L'idéal, je pense, est de rester sur les modèles qui existaient dans notre métier avant uber, et non de s'enfiler dans les brèches de la législations qui seront bientôt fermées. J'entend par la du salariat basique, sans paiement au %. Chauffeur est un métier comme un autre, la boulangère n'est pas payé au % mais fait correctement son travail, le mécanicien aussi... pas forcement besoin de % sur objectif pour avoir un salarié motivé. Mais la on passe dans un autre sujet qui est celui du recrutement et NON tu ne trouvera personne de motivé pour faire du uber, il faut donc des clients directs et une politique d'entreprise qui respect le salarié. Cela n'empêche pas de faire du Uber entre deux courses directs bien sur. Mais je pense que ce modele est le plus fiable dans le temps, le plus respectable pour le salarié, et a long terme le plus rentable.
[DOUBLEPOST=1442955421][/DOUBLEPOST]Avoir des salariés dans des métiers de service, transport ou autres, n'est pas une fin en soi, c'est aussi et surtout prendre d'énormes risque. D'ici quelques mois on va commencer à voir tomber des mises au prud'homme, rarement en faveur des employeurs, ensuite risque de travail au black, ensuite métier pas assez rentable pour offrir de bons salaires servant à motiver les salariés... La liste est longue des inconvénients, et je ne suis même pas certain même en imaginant que tout se passe bien, une fois le trait tiré ça laisse du gras à l'entreprise. Par expérience, j'ai eu jusqu'à 35 salariés, je peux vous assuré qu'un salarié ( sauf perle rare) n'ira jamais dans votre sens et qu'il n'agira jamais dans le sens de l'entreprise, mais bel et bien dans le sien. À méditer donc pour tous ceux qui souhaitent se lancer dans la grande aventure de devenir patron.