- 15 Novembre 2014
- 1 184
- 805
- Localité
- Paris
Une semaine après une perquisition dans ses locaux, Uber France et sa gamme Uber Pop se font tout petit. Depuis le 1er janvier 2015, l'activité est très encadrée et la société est donc devenue plus exigeante avec ses chauffeurs. Jusqu'à en faire renoncer certains.
"Avec le statut d'autoentrepreneur, on va payer des charges, en plus des frais de notre voiture et de l'assurance. Moi, je fais à peu près 700 euros par semaine. Quand Uber prend son pourcentage, et avec les frais d'essence, j'arrive à 400 euros. Quand je vais être autoentrepreneur, je vais être à 300 euros pour travailler six jours sur sept. Ça vaut plus vraiment le coup."
Uber dit ne pas craindre d'autres départs comme celui-là. Mais des départs trops nombreux pourraient contrecarrer ses plans. En fait, avec ces nouvelles conditions d'affiliation à son service UberPoP, Uber espère surtout professionnaliser ses chauffeurs les plus occasionnels, et ainsi les faire travailler à temps plein.
Interview audio
http://www.franceinter.fr/depeche-pour-etre-plus-pro-uber-pop-pret-a-risquer-le-flop
"Avec le statut d'autoentrepreneur, on va payer des charges, en plus des frais de notre voiture et de l'assurance. Moi, je fais à peu près 700 euros par semaine. Quand Uber prend son pourcentage, et avec les frais d'essence, j'arrive à 400 euros. Quand je vais être autoentrepreneur, je vais être à 300 euros pour travailler six jours sur sept. Ça vaut plus vraiment le coup."
Uber dit ne pas craindre d'autres départs comme celui-là. Mais des départs trops nombreux pourraient contrecarrer ses plans. En fait, avec ces nouvelles conditions d'affiliation à son service UberPoP, Uber espère surtout professionnaliser ses chauffeurs les plus occasionnels, et ainsi les faire travailler à temps plein.
Interview audio
http://www.franceinter.fr/depeche-pour-etre-plus-pro-uber-pop-pret-a-risquer-le-flop