La seule solution que je vois pour la voiture autonome dans Paris, c'est qu'un petit indien prenne le relais depuis Calcutta, si le mode autonome est en panique
Son expérience de conduite dans une grande ville du tiers monde pourrait alors fait l'affaire.
Dans un monde idéal où les rues sont droites, où les usagers de la route respectent le code de la route, les peintures au sol sont visibles. La force de la voiture autonome, c’est-à-dire respecter strictement le code de la route, devient sa faiblesse dans des environnements comme Paris. Par exemple, lors de travaux entre la place de la Concorde et rue Royale, la voiture autonome ne va jamais avancer à certaines heures de la journée en cédant le passage aux autres véhicules.
Prendra-t-elle l’initiative de faire marche arrière derrière un camion-poubelle ? Montera-t-elle sur un trottoir pour éviter un camion de livraison ? Rajoute à cela la complexité juridique et législative. La France est un pays où ça évolue très, très lentement.
À cela s’ajoutent les risques de bugs ou de piratage. Tu dis qu’il y a des caméras à 360 degrés pour prévenir les actes de vandalisme, mais il existe aussi des cagoules à 10 euros pour y remédier. On peut compter sur l’ingéniosité de certains pour immobiliser ces véhicules : par exemple, poser un cône sur le capot d’une voiture la rend paralysée.
Les personnes qui fantasment sur les voitures autonomes me font penser à celles des années 80, qui pensaient que l’on aurait des soucoupes volantes en l’an 2000. Même si le chauffeur s’est précarisé, il restera encore indispensable pendant longtemps.
Aujourd’hui, il est crucial de comprendre que certaines grandes sociétés américaines disposent de ressources financières colossales, souvent des milliards de dollars, qui leur permettent d’influencer voire de faire plier presque n’importe quel pays ou marché. Un exemple flagrant est celui des plateformes de VTC, qui, à leur lancement, ont été largement critiquées et rejetées, parfois au point que leurs utilisateurs étaient considérés comme des marginaux ou des inconscients. Pourtant, au fil du temps, leur modèle s’est imposé comme une évidence dans le secteur du transport.
Le véritable problème, c’est que cette évolution se produit souvent quand il est déjà trop tard pour ceux qui avaient sous-estimé ou rejeté ces projets. En refusant de les prendre au sérieux dès le départ, ils ont perdu une avance stratégique précieuse, et les impacts économiques, sociaux ou réglementaires se sont faits ressentir brutalement.
Cela doit servir de leçon : face à l’émergence de nouveaux projets ou technologies, il ne faut jamais les ignorer ou les minimiser, car ceux qui ont les moyens et la vision peuvent transformer un marché entier en quelques années seulement.
Messages Fusionnés
Tu évoques aussi à juste titre les risques de bugs, de piratage et les petites astuces qui peuvent immobiliser ces voitures, comme poser un cône sur le capot. Cela dit, poser une cagoule en plein Paris ne passe pas inaperçu et attirerait rapidement l’attention, ce qui limite un peu ces actes de vandalisme.
Grâce aux progrès rapides de l’intelligence artificielle et à l’apprentissage à partir de millions de scénarios variés, ces véhicules deviennent de plus en plus capables de gérer des situations complexes, d’anticiper les comportements imprévus et de s’adapter aux aléas du trafic. Avec cette richesse d’expériences accumulées, les voitures autonomes deviendront parfaitement fonctionnelles, même dans des environnements urbains très compliqués.
Dans un premier temps, il est probable que ces voitures soient limitées à des zones précises comme Paris même, où le déploiement pourra se faire de manière contrôlée avant une expansion plus large.
Ce n’est pas un simple fantasme : aux États-Unis, des sociétés comme Waymo et Tesla ont déjà déployé des technologies de conduite autonome qui fonctionnent très bien, avec des milliers d’heures de conduite sans intervention humaine dans des conditions réelles.
Par ailleurs, cette évolution technologique va aussi faire émerger de nouveaux métiers, notamment dans la surveillance. On peut imaginer des sociétés spécialisées avec des “vigiles” répartis un peu partout, prêts à intervenir face à toute tentative de vandalisme ou de destruction des voitures autonomes. Ces agents pourraient jouer un rôle clé pour protéger ces véhicules et rassurer les utilisateurs.
En somme, même si le chauffeur restera indispensable encore longtemps dans des contextes complexes, la voiture autonome avance, portée par des innovations technologiques, une IA toujours plus performante et l’apparition de nouveaux métiers autour de sa sécurité et de son exploitation.
Aujourd’hui, il est crucial de comprendre que certaines grandes sociétés américaines disposent de ressources financières colossales, souvent des milliards de dollars, qui leur permettent d’influencer voire de faire plier presque n’importe quel pays ou marché. Un exemple flagrant est celui des plateformes de VTC, qui, à leur lancement, ont été largement critiquées et rejetées, parfois au point que leurs utilisateurs étaient considérés comme des marginaux ou des inconscients. Pourtant, au fil du temps, leur modèle s’est imposé comme une évidence dans le secteur du transport.
Le véritable problème, c’est que cette évolution se produit souvent quand il est déjà trop tard pour ceux qui avaient sous-estimé ou rejeté ces projets. En refusant de les prendre au sérieux dès le départ, ils ont perdu une avance stratégique précieuse, et les impacts économiques, sociaux ou réglementaires se sont faits ressentir brutalement.
Cela doit servir de leçon : face à l’émergence de nouveaux projets ou technologies, il ne faut jamais les ignorer ou les minimiser, car ceux qui ont les moyens et la vision peuvent transformer un marché entier en quelques années seulement.
Messages Fusionnés
Tu évoques aussi à juste titre les risques de bugs, de piratage et les petites astuces qui peuvent immobiliser ces voitures, comme poser un cône sur le capot. Cela dit, poser une cagoule en plein Paris ne passe pas inaperçu et attirerait rapidement l’attention, ce qui limite un peu ces actes de vandalisme.
Grâce aux progrès rapides de l’intelligence artificielle et à l’apprentissage à partir de millions de scénarios variés, ces véhicules deviennent de plus en plus capables de gérer des situations complexes, d’anticiper les comportements imprévus et de s’adapter aux aléas du trafic. Avec cette richesse d’expériences accumulées, les voitures autonomes deviendront parfaitement fonctionnelles, même dans des environnements urbains très compliqués.
Dans un premier temps, il est probable que ces voitures soient limitées à des zones précises comme Paris même, où le déploiement pourra se faire de manière contrôlée avant une expansion plus large.
Ce n’est pas un simple fantasme : aux États-Unis, des sociétés comme Waymo et Tesla ont déjà déployé des technologies de conduite autonome qui fonctionnent très bien, avec des milliers d’heures de conduite sans intervention humaine dans des conditions réelles.
Par ailleurs, cette évolution technologique va aussi faire émerger de nouveaux métiers, notamment dans la surveillance. On peut imaginer des sociétés spécialisées avec des “vigiles” répartis un peu partout, prêts à intervenir face à toute tentative de vandalisme ou de destruction des voitures autonomes. Ces agents pourraient jouer un rôle clé pour protéger ces véhicules et rassurer les utilisateurs.
En somme, même si le chauffeur restera indispensable encore longtemps dans des contextes complexes, la voiture autonome avance, portée par des innovations technologiques, une IA toujours plus performante et l’apparition de nouveaux métiers autour de sa sécurité et de son exploitation.
Salut
Pour répondre à ton post qui averti les chauffeurs de se préparer à autre chose, je pense que les chauffeurs n’ont pas à s’inquiéter, ils ont de beaux jours devant eux, car la voiture autonome sans chauffeur ne risque pas de voir le jour à Paris d’ici quelques années, voire des décennies même.
Un exemple flagrant est celui des plateformes de VTC, qui, à leur lancement, ont été largement critiquées et rejetées, parfois au point que leurs utilisateurs étaient considérés comme des marginaux ou des inconscients. Pourtant, au fil du temps, leur modèle s’est imposé comme une évidence dans le secteur du transport
L’exemple que tu donnes n’est pas bon, ça a été critiqué par les taxis et quelques entreprises / chauffeur seulement, car ils y voyaient de la concurrence.
Les clients eux, au contraire, étaient très content de l’arrivée de ses plates-formes.
Juste par curiosité, je vois que tu t’es inscrit ce jour sur le forum.
J’aimerais savoir en fait quel est ton intérêt ?
C’est juste par bienveillance ?
Salut
Pour répondre à ton post qui averti les chauffeurs de se préparer à autre chose, je pense que les chauffeurs n’ont pas à s’inquiéter, ils ont de beaux jours devant eux, car la voiture autonome sans chauffeur ne risque pas de voir le jour à Paris d’ici quelques années, voire des décennies même.
L’exemple que tu donnes n’est pas bon, ça a été critiqué par les taxis et quelques entreprises / chauffeur seulement, car ils y voyaient de la concurrence.
Les clients eux, au contraire, étaient très content de l’arrivée de ses plates-formes.
Juste par curiosité, je vois que tu t’es inscrit ce jour sur le forum.
J’aimerais savoir en fait quel est ton intérêt ?
C’est juste par bienveillance ?
Merci pour ton point de vue, c’est vrai que la voiture autonome 100 % sans chauffeur à Paris prendra du temps à se généraliser, voire plusieurs années voire décennies. Mais je pense qu’il ne faut pas oublier qu’il y aura aussi de nombreux avantages à utiliser des taxis autonomes.
Par exemple, l’anonymat des personnes célèbres sera mieux protégé : plus de risque de se faire suivre ou de voir leurs trajets divulgués par certains VTC. Pour les femmes, ces taxis autonomes seront une alternative plus sûre aux VTC privés, avec moins de risques d’agressions. On élimine aussi le risque que le chauffeur soit sous alcool ou sous substances, ce qui est un problème sérieux aujourd’hui.
D’autres avantages incluent une baisse des coûts à long terme, une meilleure disponibilité 24/7, une régularité des trajets sans temps d’attente lié au chauffeur, et une réduction des risques liés à la fatigue ou au stress du conducteur.
Bien sûr, les chauffeurs auront toujours un rôle important, mais ces innovations feront aussi émerger de nouvelles opportunités dans la sécurité, la maintenance, et la gestion de ces véhicules.
En résumé, même si ça ne remplacera pas tout de suite le chauffeur humain, les taxis autonomes apportent des bénéfices réels qui méritent d’être pris en compte.
Salut
Pour répondre à ton post qui averti les chauffeurs de se préparer à autre chose, je pense que les chauffeurs n’ont pas à s’inquiéter, ils ont de beaux jours devant eux, car la voiture autonome sans chauffeur ne risque pas de voir le jour à Paris d’ici quelques années, voire des décennies même.
L’exemple que tu donnes n’est pas bon, ça a été critiqué par les taxis et quelques entreprises / chauffeur seulement, car ils y voyaient de la concurrence.
Les clients eux, au contraire, étaient très content de l’arrivée de ses plates-formes.
Juste par curiosité, je vois que tu t’es inscrit ce jour sur le forum.
J’aimerais savoir en fait quel est ton intérêt ?
C’est juste par bienveillance ?
Non ce n'est pas uniquement par bienveillance : derrière ces avancées, il y a aussi des personnes comme moi qui développent des solutions autonomes combinées à des applications DEPIN (Decentralized Physical Infrastructure), justement pour casser les coûts élevés imposés par des acteurs comme Uber.
Vu que tu parles de voitures autonomes et d'Uber, ces derniers ont vendu fin 2020 leur division de recherche et développement sur le sujet, c'est dire à quel point ils sont confiants que ça arrive sous peu.
Bonjour,
Je rejoins ce qui à été dit précédemment : il faut d'abord éduquer les gens à respecter le code de la route. Donc ça ne va pas être possible avant 1 siècle je dirais. Soit une nouvelle génération.
Aujourd’hui, il est crucial de comprendre que certaines grandes sociétés américaines disposent de ressources financières colossales, souvent des milliards de dollars, qui leur permettent d’influencer voire de faire plier presque n’importe quel pays ou marché. Un exemple flagrant est celui des plateformes de VTC, qui, à leur lancement, ont été largement critiquées et rejetées, parfois au point que leurs utilisateurs étaient considérés comme des marginaux ou des inconscients. Pourtant, au fil du temps, leur modèle s’est imposé comme une évidence dans le secteur du transport.
Et Uber est aussi interdit dans de nombreux pays qui protègent leur taxi.
Comme quoi milliards de dollar ou pas quand ca touche le travail d'un humain ça peut coincer, les USA c'est le far west, le pays du marche ou crève, pas l'Europe, encore moins la France.
Franchement, je ne suis pas inquiet une seconde. Ce concept ? Inapplicable pour l’instant. Tu mets juste un match de Ligue des champions, et c’est bon, tout le monde transforme ces voitures en manèges. Et alors les assurances… elles vont se battre pour couvrir ça, c’est sûr !
On peut compter sur l’ingéniosité de certains pour immobiliser ces véhicules : par exemple, poser un cône sur le capot d’une voiture la rend paralysée.
