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Ubériser Uber !


Ubériser Uber !


Natan

Zoneur Averti
HEETCH
11 Septembre 2019
1 890
2 352
Localité
Paris
Arcade City et d’autres acteurs proposent des services de mobilité similaires à ceux développés par Uber, mais fondés sur la blockchain pour plus d’équité.

Les projets et services de mobilité fondés sur les principes de la blockchain se multiplient. Ils entendent devenir des alternatives décentralisées à Uber et Lyft, poussant la logique du modèle de ces plateformes de VTC à son extrême.

« Nous avons bâti le premier et le seul réseau de ride-sharing au monde opéré et possédé par ses conducteurs ». Arcade City, créé par d’anciens chauffeurs Uber à Austin (Texas) en 2015, se veut « une plate-forme coopérative basée sur les blockchains et visant à transformer l’économie du partage ».

À l’assaut d’Uber
Le service proposé ressemble à celui d’acteurs plus connus, mais la philosophie du service et son fonctionnement sont bien différents. Une blockchain gère de façon décentralisée, et sans tiers de confiance, tous les échanges entre conducteurs et particuliers, formant un réseau de pair-à-pair (P2P). Un token spécifique (ARCD), crypto-actif de la blockchain Ethereum, sert à régler les courses et à fidéliser les usagers, tout en réduisant les coûts d’exploitation (notamment en éliminant les frais bancaires). Mais l’entreprise s’efface devant le réseau que ses outils aident à former. Ici, pas d’entreprise mastodonte et centralisée décidant de tout et fixant le prix des courses : Arcade City crée et met simplement à disposition des citoyens des moyens pour faciliter la mise en relation des conducteurs et des passagers.

S’opposer aux modèles existants fait donc partie de l’ADN d’Arcade City, et l’entreprise n’hésite pas à fustiger ses concurrents, pour mieux mettre en avant ses avantages. « La croissance d’Uber repose sur des millions de dollars dépensés à recruter des chauffeurs en promettant l’indépendance, mais son modèle économique fait peser un poids intenable qui produit le sous-emploi des chauffeurs et un turnover ingérable », estime le livre blanc du projet, mis à jour en mai 2018.

Le document souligne notamment que les conducteurs Uber ne perçoivent qu’à peine 30% du montant des courses, soit presque autant que les frais perçus par Uber pour faire fonctionner son service. « Arcade City, qui ne prélève aucun frais sur les courses, offre aux conducteurs des revenus 1,8 à 2,5 fois supérieurs à ceux des gros acteurs centralisés », assure l’entreprise, qui se heurte pourtant parfois aux mêmes difficultés que les géants du ride-sharing. Introduit aux Philippines en août 2017, le service s’est attiré les foudres des autorités, qui venaient de forcer la suspension d’Uber. « Nous ne sommes pas une entreprise de transport », se défend Christopher David, fondateur et PDG d’Arcade City, soulignant les spécificités de son modèle : « Notre entreprise ne perçoit pas de paiement des conducteurs ou des usagers, et tout chauffeur s’identifiant comme appartenant à Arcade City est un entrepreneur indépendant, et non un salarié ou un employé ».

Le concept pousse donc la logique du modèle Uber à son extrême : faciliter le partage de véhicules entre particuliers, et inciter les individus à prendre eux-mêmes en charge leurs besoins de mobilité, sans donner naissance à des corporations géantes dont les pratiques sociales et commerciales sont souvent critiquées. Arcade City se positionne aussi en partenaire des villes, offrant un service résolument local et adaptable sur mesure aux besoins de la municipalité.

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La blockchain, pétrole numérique de la mobilité ?
Par essence, les blockchains paraissent de bons outils pour décentraliser la mobilité, servant à la fois pour assurer des transactions financières à bas prix entre individus, et pour stocker des données (kilométrages, trajets, caractéristiques des véhicules) de façon immuable et sans serveur central. La logique des smart contracts ajoute des conditions programmables à l’ensemble, par exemple pour automatiser des contrats d’assurance, ou assujettir les transactions financières aux prestations offertes. En septembre 2017, Axa a par exemple testé un service compensant automatiquement les voyageurs aériens en cas de retard de leur vol, géré par des smart contracts sur la blockchain Ethereum. Une logique qui pourrait s’adapter à d’autres situations de transport et de mobilité.

Sans surprise, beaucoup de projets cherchent aujourd’hui à tirer parti des blockchains pour s’adjuger une part du gâteau de la mobilité partagée urbaine. En cours de lancement plus ou moins avancé, SnagRide ou Chasyr comptent également, comme Arcade City, proposer des services de ride-sharing à base de blockchains. D’autres ciblent des aspects différents du partage de véhicules. Helbiz se présente ainsi comme « une solution de partage de voiture sans couture, permettant aux utilisateurs de louer leurs véhicules privés en utilisant une blockchain, directement via leur téléphone mobile et sans intervention manuelle ». En avril dernier, l’entreprise a mené avec succès son ICO (Initial Coin Offering), levant 38,6 millions de dollars auprès de 28 500 internautes. Le service sera prochainement ouvert à Los Angeles (Californie), avant de s’étendre à cinq autres villes américaines d’ici début 2019.

Blockchains, crypto-monnaies et smart contracts sont autant d’outils pour bâtir des écosystèmes facilitant l’émergence de services de particuliers à particuliers efficaces, bon marché et décentralisés
Autre exemple, Darenta, opérationnel en Russie et qui devrait se lancer prochainement en Australie, repose également sur une blockchain et des smart contracts pour gérer un service de location de véhicules entre particuliers : les individus peuvent louer à d’autres leurs voitures, en fixant eux-mêmes le prix de location, payé en crypto-monnaie.

Si Uber, Lyft ou Didi ont précipité l’apparition d’usages d’un genre nouveau, ceux-ci pourraient donc se démocratiser encore davantage. Au-delà des seuls aspects financiers, blockchains, crypto-monnaies et smart contracts sont autant d’outils pour bâtir des écosystèmes facilitant l’émergence, dans tous les domaines, de services de particuliers à particuliers efficaces, bon marché et décentralisés.

Généraliser le P2P
Mais les blockchains pourraient aussi plus largement constituer la couche logicielle, et même les systèmes d’exploitation, des futurs dispositifs de mobilité et de transport. Le projet DAV, dont l’ICO en cours a déjà permis de lever plus de 20 millions de dollars, compte par exemple généraliser le principe de blockchain pour créer « des protocoles permettant à quiconque d’utiliser des services de transport ou d’ajouter au réseau leur propre véhicule, conduit par un humain ou autonome, et créant un écosystème de transport décentralisé et de pair-à-pair ».

DAV se positionne ainsi comme une potentielle épine dorsale du principe de Mobility-as-a-Service (MaaS), la vision selon laquelle les véhicules ne sont plus possédés mais disponibles en libre service et partageables, formant un réseau de mobilité souple et accessible. Dans cette vision, les blockchains servent aux véhicules pour s’identifier et communiquer entre eux ou avec les fournisseurs de service, tout en autorisant des contrats automatisés entre toutes les parties impliquées (acheteur de services, vendeur, assureur, etc.) sans nécessiter de tiers de confiance.
 
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Réactions: eric89fr et Azsou69




steekus

Zoneur Reconnu
VTC
UBER
11 Août 2020
405
595
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Marseille
Véhicule
Octavia Combi mHEV
Moi non plus!!
 


Anthiol

Zoneur Vérifié
VTC
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FREENOW
4 Décembre 2019
115
80
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En gros c'est comme vous aviez un uber sans les bureaux donc les frais sont ultra réduits. C'est un genre de serveur automatisé et communautif qui gere tout ca. Vous pouvez etre payé en argent réel ou en token de arcade city ( l'équivalent du bitcoin mais ecrit arcade city dessus) L'avantage c'est que si l'application détrône uber, l'action du token va grimper et vaudra surement plus que l'euro donc ce que vous aurez gagner au début vaudra la masse plus tard
 
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pedro92

Le vtc n'est pas une œuvre sociale.....
VTC
4 Août 2015
2 707
4 366
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Marseille
Ça a déjà existé une application de mise en relation sans commission...

Ni chauffeurs ni clients n'ont adhéré, fin du projet....
 


Natan

Zoneur Averti
HEETCH
11 Septembre 2019
1 890
2 352
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Paris
JOHNAVANCE @JOHNAVANCE , steekus @steekus . Pour comprendre un peu mieux, je propose de définir déjà ce qu'est l'Uberisaton.
Il y aura plein de versions, mais déjà si vous avez bien saisi ce que c'est, et bien ici il s'agirait de réduire encore plus les tiers de confiance (intermédiaires). Réduire veut dire, réduire les frais.

Le client et le chauffeur seront en mis en relation encore plus directement. C'est risqué au point de vue de la sécurité (banques, assurances...) mais avantageux pour l'indépendance.

C'est une libérisation poussée à l'extrême.
 


steekus

Zoneur Reconnu
VTC
UBER
11 Août 2020
405
595
Localité
Marseille
Véhicule
Octavia Combi mHEV
Moi je suis ok et je ne vois pas quel chauffeur ne le serait pas.
Après c'est toujours pareil, ce n'est pas les chauffeurs qu'il faut convaincre mais les clients...
Et vu le marché ça demande un sacré investissement marketing!
 


Helia

VTC à la retraite
VTC
6 Mars 2019
2 273
1 890
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Paris
Véhicule
Toyota Auris TS
je vais faire ma petite vieille... l argent n a de valeur que ce qu on lui donne
donc la dans ton truc tu travailles pour soi disant gagner 2000 euros et au final tu esperes que ca prendra la valeur en te faisant miroiter que ton billet vaut plus
tout en sachant qu il peut valoir beaucoup moins. bref, en gros tu risques de tourner pour rien
je trouve que deja on bosse pour un billet ecrit euro dessus mais quil ne vaut pas plus qu un assignat
 


Drimona

Drimona App
APPLI
31 Mai 2021
32
21
Localité
Paris
Arcade City et d’autres acteurs proposent des services de mobilité similaires à ceux développés par Uber, mais fondés sur la blockchain pour plus d’équité.

Les projets et services de mobilité fondés sur les principes de la blockchain se multiplient. Ils entendent devenir des alternatives décentralisées à Uber et Lyft, poussant la logique du modèle de ces plateformes de VTC à son extrême.

« Nous avons bâti le premier et le seul réseau de ride-sharing au monde opéré et possédé par ses conducteurs ». Arcade City, créé par d’anciens chauffeurs Uber à Austin (Texas) en 2015, se veut « une plate-forme coopérative basée sur les blockchains et visant à transformer l’économie du partage ».

À l’assaut d’Uber
Le service proposé ressemble à celui d’acteurs plus connus, mais la philosophie du service et son fonctionnement sont bien différents. Une blockchain gère de façon décentralisée, et sans tiers de confiance, tous les échanges entre conducteurs et particuliers, formant un réseau de pair-à-pair (P2P). Un token spécifique (ARCD), crypto-actif de la blockchain Ethereum, sert à régler les courses et à fidéliser les usagers, tout en réduisant les coûts d’exploitation (notamment en éliminant les frais bancaires). Mais l’entreprise s’efface devant le réseau que ses outils aident à former. Ici, pas d’entreprise mastodonte et centralisée décidant de tout et fixant le prix des courses : Arcade City crée et met simplement à disposition des citoyens des moyens pour faciliter la mise en relation des conducteurs et des passagers.

S’opposer aux modèles existants fait donc partie de l’ADN d’Arcade City, et l’entreprise n’hésite pas à fustiger ses concurrents, pour mieux mettre en avant ses avantages. « La croissance d’Uber repose sur des millions de dollars dépensés à recruter des chauffeurs en promettant l’indépendance, mais son modèle économique fait peser un poids intenable qui produit le sous-emploi des chauffeurs et un turnover ingérable », estime le livre blanc du projet, mis à jour en mai 2018.

Le document souligne notamment que les conducteurs Uber ne perçoivent qu’à peine 30% du montant des courses, soit presque autant que les frais perçus par Uber pour faire fonctionner son service. « Arcade City, qui ne prélève aucun frais sur les courses, offre aux conducteurs des revenus 1,8 à 2,5 fois supérieurs à ceux des gros acteurs centralisés », assure l’entreprise, qui se heurte pourtant parfois aux mêmes difficultés que les géants du ride-sharing. Introduit aux Philippines en août 2017, le service s’est attiré les foudres des autorités, qui venaient de forcer la suspension d’Uber. « Nous ne sommes pas une entreprise de transport », se défend Christopher David, fondateur et PDG d’Arcade City, soulignant les spécificités de son modèle : « Notre entreprise ne perçoit pas de paiement des conducteurs ou des usagers, et tout chauffeur s’identifiant comme appartenant à Arcade City est un entrepreneur indépendant, et non un salarié ou un employé ».

Le concept pousse donc la logique du modèle Uber à son extrême : faciliter le partage de véhicules entre particuliers, et inciter les individus à prendre eux-mêmes en charge leurs besoins de mobilité, sans donner naissance à des corporations géantes dont les pratiques sociales et commerciales sont souvent critiquées. Arcade City se positionne aussi en partenaire des villes, offrant un service résolument local et adaptable sur mesure aux besoins de la municipalité.


La blockchain, pétrole numérique de la mobilité ?
Par essence, les blockchains paraissent de bons outils pour décentraliser la mobilité, servant à la fois pour assurer des transactions financières à bas prix entre individus, et pour stocker des données (kilométrages, trajets, caractéristiques des véhicules) de façon immuable et sans serveur central. La logique des smart contracts ajoute des conditions programmables à l’ensemble, par exemple pour automatiser des contrats d’assurance, ou assujettir les transactions financières aux prestations offertes. En septembre 2017, Axa a par exemple testé un service compensant automatiquement les voyageurs aériens en cas de retard de leur vol, géré par des smart contracts sur la blockchain Ethereum. Une logique qui pourrait s’adapter à d’autres situations de transport et de mobilité.

Sans surprise, beaucoup de projets cherchent aujourd’hui à tirer parti des blockchains pour s’adjuger une part du gâteau de la mobilité partagée urbaine. En cours de lancement plus ou moins avancé, SnagRide ou Chasyr comptent également, comme Arcade City, proposer des services de ride-sharing à base de blockchains. D’autres ciblent des aspects différents du partage de véhicules. Helbiz se présente ainsi comme « une solution de partage de voiture sans couture, permettant aux utilisateurs de louer leurs véhicules privés en utilisant une blockchain, directement via leur téléphone mobile et sans intervention manuelle ». En avril dernier, l’entreprise a mené avec succès son ICO (Initial Coin Offering), levant 38,6 millions de dollars auprès de 28 500 internautes. Le service sera prochainement ouvert à Los Angeles (Californie), avant de s’étendre à cinq autres villes américaines d’ici début 2019.


Autre exemple, Darenta, opérationnel en Russie et qui devrait se lancer prochainement en Australie, repose également sur une blockchain et des smart contracts pour gérer un service de location de véhicules entre particuliers : les individus peuvent louer à d’autres leurs voitures, en fixant eux-mêmes le prix de location, payé en crypto-monnaie.

Si Uber, Lyft ou Didi ont précipité l’apparition d’usages d’un genre nouveau, ceux-ci pourraient donc se démocratiser encore davantage. Au-delà des seuls aspects financiers, blockchains, crypto-monnaies et smart contracts sont autant d’outils pour bâtir des écosystèmes facilitant l’émergence, dans tous les domaines, de services de particuliers à particuliers efficaces, bon marché et décentralisés.

Généraliser le P2P
Mais les blockchains pourraient aussi plus largement constituer la couche logicielle, et même les systèmes d’exploitation, des futurs dispositifs de mobilité et de transport. Le projet DAV, dont l’ICO en cours a déjà permis de lever plus de 20 millions de dollars, compte par exemple généraliser le principe de blockchain pour créer « des protocoles permettant à quiconque d’utiliser des services de transport ou d’ajouter au réseau leur propre véhicule, conduit par un humain ou autonome, et créant un écosystème de transport décentralisé et de pair-à-pair ».

DAV se positionne ainsi comme une potentielle épine dorsale du principe de Mobility-as-a-Service (MaaS), la vision selon laquelle les véhicules ne sont plus possédés mais disponibles en libre service et partageables, formant un réseau de mobilité souple et accessible. Dans cette vision, les blockchains servent aux véhicules pour s’identifier et communiquer entre eux ou avec les fournisseurs de service, tout en autorisant des contrats automatisés entre toutes les parties impliquées (acheteur de services, vendeur, assureur, etc.) sans nécessiter de tiers de confiance.
Je trouve assez curieux et bien que le marché soit saturé (selon vous) le fait que vous fassiez la promotion d'Arcade city, une énième appli qui patauge depuis 2015, comme vous le mentionnez, après une ICO de 38 Millions $ !!! Pour les non initiés, ICO = levé de fonds auprès d'investisseurs / chauffeurs en vendant des tokens "jetons virtuels" qui n'ont aucune valeur juridique en terme de propriété.

Pour faire court sur ce concept que vous présentez comme "révolutionnaire" : c'est peu Citygo + Jetons monétisés ;). Les chauffeurs vous diront ce qu'ils en pensent. Après les termes Bolckchains, Cryptomonnaies, Token, Maas, Saas font beaucoup rêver et ça peut impressionner les non initiés aussi ! Il faut dire qu'il y a souvent beaucoup de vent derrière tout ça.

Une question : Avez-vous acheté ces tokens ou bien c'est le simple émerveillement de tout ce qui vient du pays de l'oncle Sam et d'ailleurs ?
 


Natan

Zoneur Averti
HEETCH
11 Septembre 2019
1 890
2 352
Localité
Paris
Je trouve assez curieux et bien que le marché soit saturé (selon vous) le fait que vous fassiez la promotion d'Arcade city, une énième appli qui patauge depuis 2015, comme vous le mentionnez, après une ICO de 38 Millions $ !!! Pour les non initiés, ICO = levé de fonds auprès d'investisseurs / chauffeurs en vendant des tokens "jetons virtuels" qui n'ont aucune valeur juridique en terme de propriété.

Pour faire court sur ce concept que vous présentez comme "révolutionnaire" : c'est peu Citygo + Jetons monétisés ;). Les chauffeurs vous diront ce qu'ils en pensent. Après les termes Bolckchains, Cryptomonnaies, Token, Maas, Saas font beaucoup rêver et ça peut impressionner les non initiés aussi ! Il faut dire qu'il y a souvent beaucoup de vent derrière tout ça.

Une question : Avez-vous acheté ces tokens ou bien c'est le simple émerveillement de tout ce qui vient du pays de l'oncle Sam et d'ailleurs ?
Ce n'est de la promo pour personne, juste une discussion 😊

C'est intéressant de pousser l'uberisation à l'extrême, mais pour tout vous dire, je ne travaille pas avec Uber et la crypto-monnaie ne me donne aucun frisson.

Le premier critère de choix pour un client, est le prix. Il faut qu'il soit bas ! Pour une commande de VTC ou pour partir en vacances etc, le consommateur (que nous sommes) veut payer le moins cher, je n'y peux rien mais l'iberisation va dans ce sens.

Sont malheureusement mis de côté la qualité, la sécurité ou les services dans ce modèle économique (et idéologique)

Je ne suis qu'un artisan, je jongle entre l'ubérisation et "le travail à l'ancienne", je prends le meilleur des 2 et propose des choses sympas à mes clients 😊 Pour pas trop cher mais un peu plus que les plateformes car il y a encore une clientèle qui sait que payer plus cher est un gage de qualité.
 
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