- 14 Décembre 2016
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- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
Transition électrique : pourquoi le secteur des VTC et des taxis doit être régulé, par Uber France
La responsable de Uber en France, Laureline Serieys, appelle les pouvoirs publics à accélérer le verdissement des flottes d’entreprises.
La proposition de loi Adam prévoit une trajectoire ambitieuse mais réaliste d’électrification pour les flottes professionnelles - 20 % en 2025 pour atteindre 90 % en 2032 - et des sanctions financières. Le secteur du transport particulier de personnes (T3P), dont relève Uber ainsi que les autres plateformes de VTC et les taxis, a besoin de ce choc de conversion. Aucun autre acteur VTC ou taxi en dehors d’Uber ne s’est concrètement donné les moyens de sortir du thermique, et la transition électrique est au point mort.
Pourtant, cette proposition de loi a connu un coup d’arrêt sérieux. A la surprise générale, les centrales de réservation taxi et VTC ont été retirées de son champ d’application lors du débat en Commission développement durable le 9 avril. Le sujet n’a pas été abordé et l’amendement tout bonnement retiré du texte après la séance, semble-t-il à la demande d’autres acteurs VTC et taxi, révélant là le gouffre entre leurs discours et la réalité de leurs pratiques en matière d’électrification.
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La responsable de Uber en France, Laureline Serieys, appelle les pouvoirs publics à accélérer le verdissement des flottes d’entreprises.
La proposition de loi Adam prévoit une trajectoire ambitieuse mais réaliste d’électrification pour les flottes professionnelles - 20 % en 2025 pour atteindre 90 % en 2032 - et des sanctions financières. Le secteur du transport particulier de personnes (T3P), dont relève Uber ainsi que les autres plateformes de VTC et les taxis, a besoin de ce choc de conversion. Aucun autre acteur VTC ou taxi en dehors d’Uber ne s’est concrètement donné les moyens de sortir du thermique, et la transition électrique est au point mort.
Pourtant, cette proposition de loi a connu un coup d’arrêt sérieux. A la surprise générale, les centrales de réservation taxi et VTC ont été retirées de son champ d’application lors du débat en Commission développement durable le 9 avril. Le sujet n’a pas été abordé et l’amendement tout bonnement retiré du texte après la séance, semble-t-il à la demande d’autres acteurs VTC et taxi, révélant là le gouffre entre leurs discours et la réalité de leurs pratiques en matière d’électrification.

Transition électrique : pourquoi le secteur des VTC et des taxis doit être régulé, par Uber France
La responsable de Uber en France, Laureline Serieys, appelle les pouvoirs publics à accélérer le verdissement des flottes d’entreprises.
