- 14 Décembre 2016
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- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
Poids lourds, taxis, VTC… Pas de coup de pouce de l’État en dépit de la hausse des carburants
Concurrents des taxis, ils n’ont pas le droit de « maraude » (prendre les clients qui les hèlent dans la rue) ni celui d’utiliser les couloirs réservés. Dispensés de devoir acheter la coûteuse licence de taxi (entre 40 000 et 300 000 € selon les villes), ils ne bénéficient en revanche d’aucune détaxation du carburant.
La hausse récente fait passer le coût du carburant de 600 à 800 € par mois, » évalue Brahim Ben Ali. Si les 40 000 chauffeurs sont, en principe, libres de fixer leur tarif (au contraire des chauffeurs de taxi, dont les tarifs sont fixés par les préfets), ils sont en réalité tributaires des plateformes numériques. Or les plateformes, à l’initiative d’Uber, n’ont pas trouvé de meilleure idée que de lancer une baisse des tarifs pour relancer la demande. Résultat, le tarif de la course a perdu 10 % en deux mois, alors que carburant grimpe en flèche… ».
Concurrents des taxis, ils n’ont pas le droit de « maraude » (prendre les clients qui les hèlent dans la rue) ni celui d’utiliser les couloirs réservés. Dispensés de devoir acheter la coûteuse licence de taxi (entre 40 000 et 300 000 € selon les villes), ils ne bénéficient en revanche d’aucune détaxation du carburant.
La hausse récente fait passer le coût du carburant de 600 à 800 € par mois, » évalue Brahim Ben Ali. Si les 40 000 chauffeurs sont, en principe, libres de fixer leur tarif (au contraire des chauffeurs de taxi, dont les tarifs sont fixés par les préfets), ils sont en réalité tributaires des plateformes numériques. Or les plateformes, à l’initiative d’Uber, n’ont pas trouvé de meilleure idée que de lancer une baisse des tarifs pour relancer la demande. Résultat, le tarif de la course a perdu 10 % en deux mois, alors que carburant grimpe en flèche… ».
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