Enfin pour moi au départ en terme de langage, ce n'est pas un "boulot" et les usagers ne sont pas "des clients" mais des passagers seulement. Et c'est vu comme cela de l'extèrieur.
La notion de travail est venue avec tout ce tapage et le problème qu'il y a à mettre ce système dans une case. A vouloir trop réglementer............ et ne rien déréglementer (taxis etc).
La technologie va trop vite pour les juridictions. Et cela a mis une sacrée pagaille. Mais la faute à qui?
Et je rejoins UberLyon sur plusieurs points notamment sur le lien de subordination. D'ailleurs qql'un a une preuve de paiement d'un passager pour voir à qui est payé la course? Même le fameux "kit de connexion" ne nous appartient pas, et sans l'accès à l'appli driver rien n'est possible!
En extrapolant, être interpellé pour exercice illégal et travail dissimulé est une monumentale erreur. Par contre parler de salariat déguisé.... c'est plus la même.
Les "chauffeurs" ne touchent aucun argent directement et n'ont pas leurs mots à dire sur le montant payé. Pour l'indépendance, on repassera aussi

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Si Uber ou Raiser se décharge de leurs responsabilités (tout émane d'eux quand même), ils risquent de ne pas avoir de cadeaux

Enfin, le "contrat" ne peut pas être considéré comme caduque dans la mesure où ce dernier protège Raiser et pas les chauffeurs.
C'est pas l'Amérique ici hein.
Le droit c'est de la réciprocité. Pas question d'avoir tous les avantages et refuser tous les inconvénients d'une chose, et réciproquement.
Bref si une situation autorise toute attaque, elle autorise aussi toute défense.