- 23 Août 2017
- 41
- 31
- Localité
- Paris
J'observe que le métier de vtc est en état d'échec, un effort trop important pour un retour disparate, au plan moral et matériel, pas l'impression de travailler* mais de participer à une course d'argent à l'aveugle** "sauf pour uber" en bonus, un sentiment de braquage du principe de travail, dont nous n'en tirons que moins des miettes. Des heures égales, dans un entrepôt, c'est plus motivant ! En toutes cas, je vous livre mon sentiment, après une expérience moyenne.
ps: J'aime conduire, je suis à l'aise en présence d'inconnus, mais la mécanique est mal huilée, c'est peut-être plus qu'un nouveau concept du travail* mais un nouveau phénomène comportementaliste, dont je ne suis pas à l'aise.
ps2: J'arrête le vtc septembre, je pars m'installer en Allemagne.
Voilà
Bon courage, merci.
* être le dernier maillon du service, le produit !
** Juste de quoi vivre correctement
ps: J'aime conduire, je suis à l'aise en présence d'inconnus, mais la mécanique est mal huilée, c'est peut-être plus qu'un nouveau concept du travail* mais un nouveau phénomène comportementaliste, dont je ne suis pas à l'aise.
ps2: J'arrête le vtc septembre, je pars m'installer en Allemagne.
Voilà
Bon courage, merci.
* être le dernier maillon du service, le produit !
** Juste de quoi vivre correctement