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Monaco traque les chauffeurs" Uber" ...


Monaco traque les chauffeurs" Uber" ...


pedro92

Le vtc n'est pas une œuvre sociale.....
VTC
4 Août 2015
2 680
4 286
Localité
Marseille
Petite mise au point dans la Principauté.

Rien de neuf, juste un rappel ferme, qui va sans doute amener des contrôles plus fréquents.

Pour rappel, le macaron annuel est à 720€ (tarif 2020) , l'amende à 900€ avec un blacklistage dans la Principauté... o_O :D

 
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Zey380

Ex-VTC
VTC
UBER
FREENOW
LECAB
MARCEL
ALLOCAB
12 Janvier 2016
1 030
1 949
Localité
Reims
Petite mise au point dans la Principauté.

Rien de neuf, juste un rappel ferme, qui va sans doute amener des contrôles plus fréquents.

Pour rappel, le macaron annuel est à 720€ (tarif 2020) , l'amende à 900€ avec un blacklistage dans la Principauté... o_O :D


Je lis présipauté a chaque fois... merci Groland
 
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AZF

La passion du VTC
PREMIUM
MODO
VTC
14 Décembre 2016
5 694
5 987
Localité
Paris
Véhicule
Toyota Prius 4
À Monaco, Uber rappelle (gentiment) à l’ordre ses chauffeurs

Le 11 mars, juste avant le début du confinement, le gouvernement monégasque avait édicté des mesures d’interdiction pour les chauffeurs Uber "face à l’augmentation du nombre de véhicules sur le territoire monégasque, et ce sans aucune autorisation d’exercer, ni vignette prévue à l’article 45 de l’Ordonnance souveraine n°1.720 pour les véhicules étrangers".
 


pedro92

Le vtc n'est pas une œuvre sociale.....
VTC
4 Août 2015
2 680
4 286
Localité
Marseille
À Monaco, Uber rappelle (gentiment) à l’ordre ses chauffeurs

Le 11 mars, juste avant le début du confinement, le gouvernement monégasque avait édicté des mesures d’interdiction pour les chauffeurs Uber "face à l’augmentation du nombre de véhicules sur le territoire monégasque, et ce sans aucune autorisation d’exercer, ni vignette prévue à l’article 45 de l’Ordonnance souveraine n°1.720 pour les véhicules étrangers".

Le 11 mars, juste avant le début du confinement, le gouvernement monégasque avait édicté des mesures d’interdiction pour les chauffeurs Uber "face à l’augmentation du nombre de véhicules sur le territoire monégasque, et ce sans aucune autorisation d’exercer, ni vignette prévue à l’article 45 de l’Ordonnance souveraine n°1.720 pour les véhicules étrangers".
Le conseiller de gouvernement-ministre des Finances et de l’Économie, Jean Castellini, avait alors annoncé la modification de cette même ordonnance relative à la réglementation des taxis, des véhicules de remise, des véhicules de service de ville et des motos à la demande, précisant: "Toute plateforme étrangère de mise en relation entre chauffeurs professionnels et particuliers est strictement interdite sur le territoire de la Principauté. Seule une tolérance pourra être acceptée lors de la dépose en Principauté d’un client chargé à l’extérieur de la Principauté."

Le gouvernement entendait alors "attirer l’attention des utilisateurs de ce type de plateforme sur l’activité frauduleuse de ces chauffeurs à Monaco", ajoutant qu’un parc suffisant de 220 véhicules (taxis et véhicules de grande remise avec chauffeur) était déjà disponible 24h/24 à Monaco.

Manifestement courroucé par les écarts de conduite répétés de certains chauffeurs Uber, le gouvernement insistait. "Nous ne manquerons pas de contacter à nouveau les représentants de la société Uber afin qu’ils sensibilisent une nouvelle fois leurs chauffeurs sur la réglementation en vigueur en Principauté."

Aussitôt, nous avions contacté la société incriminée pour savoir si ses chauffeurs avaient été rappelés à l’ordre par le passé, si les prises en charge en Principauté étaient référencées ou encore si des tensions entre leurs chauffeurs et les opérateurs locaux avaient pu être constatées.

UBER BOTTE EN TOUCHE, PUIS FAIT UN EFFORT

En guise de réponse, une semaine plus tard, nous avions reçu des paraphrases laconiques.

"Conformément à la réglementation en vigueur, les passagers ne peuvent pas commander une course Uber depuis la Principauté de Monaco."

"En revanche, comme autorisé par la Principauté, il est possible qu’un client soit déposé dans cette zone suite à une prise en charge à l’extérieur de la Principauté."

"Concernant vos autres questions, cela relève de la compétence des autorités locales que nous vous invitons à contacter directement."

Depuis relancé, le service communication d’Uber n’a pas été plus loquace mais nous a en revanche confirmés "avoir renvoyé un mail aux chauffeurs le 20 mai leur rappelant que la prise en charge de clients est interdite dans la Principauté".

Affaire à suivre.
 
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