- 14 Décembre 2016
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- 7 049
- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
ARPE reunion du 10/12/2025 INV-FO quitte la table des négociations... 0,79cts/klm
tarifs scandaleux à 0,79 €/km et 16 cts/min
Face à ces dérives répétées et à l’absence de réaction ferme de l’ARPE, INV-FO confirme et renforce son boycott : nous refusons de siéger dans une instance qui laisse Uber imposer des tarifs indignes et contourner le droit.

sortie et le lancement d'un boycott par l'organisation majoritaire et la plus représentative à la suite d'une réunion chaotique auprès de l'Autorité de l'ARPE avec les plateformes numériques
Les raisons principales de cette décision de quitter la table des négociations sont les suivantes :
pas d'avancée concrète : L'organisation a dénoncé le fait que leurs revendications étaient prises en otage et qu'aucune avancée concrète n'avait été réalisée
Proposition jugée scandaleuse : Uber a proposé un tarif de 0,79 centimes du kilomètre et 0,16 centimes la minute
Cette offre est jugée inacceptable, d'autant plus que les rapports de l'organisation indiquent que 1,50 € du tarif eurométrique serait nécessaire pour atteindre un seuil de rentabilité en gamme standard
Refus de discussion sur les commissions : La question de la baisse des commissions serait « tabou » ; certaines plateformes sont opposées à en parler
L'organisation a donc décidé de boycotter dorénavant les réunions de l'ARPE
Le représentant a affirmé qu'il n'y participerait plus tant qu'il n'y aurait pas une vraie proposition et tant que leurs revendications ne seraient pas acceptées
Cette stratégie est appelée la « politique de la chaise vide », visant à montrer aux plateformes qu'ils vont durcir le mouvement par des opérations coup de point
étant l'organisation majoritaire, aucun accord ne pourra être signé sans leur consentement.
le pire c'est que uber conteste la decision de l'arpe concernant les conditions sur les dispositions des futurs accords
Uber rejette en plus l’analyse juridique de l’ARPE, pourtant formelle sur l’illégalité de leur conditionnalité.

Le boycott continuera tant que le gouvernement n'aura pas changé ses positions et mis en place une véritable ré-régulation.
tarifs scandaleux à 0,79 €/km et 16 cts/min
Face à ces dérives répétées et à l’absence de réaction ferme de l’ARPE, INV-FO confirme et renforce son boycott : nous refusons de siéger dans une instance qui laisse Uber imposer des tarifs indignes et contourner le droit.

sortie et le lancement d'un boycott par l'organisation majoritaire et la plus représentative à la suite d'une réunion chaotique auprès de l'Autorité de l'ARPE avec les plateformes numériques
Les raisons principales de cette décision de quitter la table des négociations sont les suivantes :
pas d'avancée concrète : L'organisation a dénoncé le fait que leurs revendications étaient prises en otage et qu'aucune avancée concrète n'avait été réalisée
Proposition jugée scandaleuse : Uber a proposé un tarif de 0,79 centimes du kilomètre et 0,16 centimes la minute
Cette offre est jugée inacceptable, d'autant plus que les rapports de l'organisation indiquent que 1,50 € du tarif eurométrique serait nécessaire pour atteindre un seuil de rentabilité en gamme standard
Refus de discussion sur les commissions : La question de la baisse des commissions serait « tabou » ; certaines plateformes sont opposées à en parler
L'organisation a donc décidé de boycotter dorénavant les réunions de l'ARPE
Le représentant a affirmé qu'il n'y participerait plus tant qu'il n'y aurait pas une vraie proposition et tant que leurs revendications ne seraient pas acceptées
Cette stratégie est appelée la « politique de la chaise vide », visant à montrer aux plateformes qu'ils vont durcir le mouvement par des opérations coup de point
étant l'organisation majoritaire, aucun accord ne pourra être signé sans leur consentement.
le pire c'est que uber conteste la decision de l'arpe concernant les conditions sur les dispositions des futurs accords
Uber rejette en plus l’analyse juridique de l’ARPE, pourtant formelle sur l’illégalité de leur conditionnalité.

Le boycott continuera tant que le gouvernement n'aura pas changé ses positions et mis en place une véritable ré-régulation.
Pièces jointes
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