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Presse Le boum des VTC en France


Presse Le boum des VTC en France


Vtc0706

Zoneur Reconnu
VTC
TAXI
3 Mars 2015
544
392
Localité
Paris
L

Les CAPA font du n'importe quoi ils louent leurs licence comme si c'était un fond de commerce ils sont partt dans le marché du transport ils ont tué le metier
Le 1er responsable c'est les applis.
Les CAPAS accélèrent à déréguler le marché en recrutant des personnes sans carte pro.
 


gilou

Zoneur Reconnu
HEETCH
24 Juillet 2015
592
306
Localité
Paris
Il serait grand temps de régulariser tout le transport ça devient du grand n importe quoi une vraie jungle!!
 
















Christian

Zoneur Vérifié
VTC
13 Octobre 2015
142
154
Localité
Paris
[QUOTE]VTC : les chauffeurs veulent un numerus clausus, pas les plateformes type Uber
L'Etat projette de réduire mécaniquement le nombre de chauffeurs de VTC. Ceux-si se réjouissent. Mais les plateformes protestent et demandent une audience en urgence à François Hollande afin de clarifier la situation.


Au tour des VTC (voitures de transport avec chauffeur) de se faire entendre. A deux semaines d'un mouvement national des taxis contre les VTC - dont ils demandent la suppression pure et simple - prévu le 26 janvier, les organisations représentant les plateformes de mise en relation entre chauffeurs et passagers ainsi qu'Uber France, demandent à être reçues en urgence par le Président de la République.

Lettre des plateformes à François Hollande
Dans une lettre adressée à François Hollande, que La Tribune s'est procurée, les signataires (Uber France, la fédération française du transport de personnes sur réservation (FFTPR), l'association alternative mobilité transport (AMT), ainsi que les sociétés de formation 8-C et Cab Formation) dénoncent en effet le numérus clausus censé figurer dans le projet d'arrêté qui devrait être signé et publié au Journal officiel d'ici lundi afin d'établir les conditions d'accès à la profession, et pour lesquelles les différentes parties (taxis, VTC et plateformes) ont été reçues ce début de semaine.

En effet, selon eux:

"Après plusieurs semaines de travail et d concertation, les cabinets des Ministres de l'Intérieur, de l'Economie et des Transports ont présenté lundi dernier un texte de compromis équilibré, qui aurait permis de remettre le secteur des VTC en croissance.

Or quelques heures plus tard, il semble que les avancées significatives réalisées par le gouvernement sur l'examen des futurs conducteurs aient été remises en cause d'un trait de plume avec l'introduction d'une disposition limitant drastiquement le nombre de sessions annuelles d'examen pour devenir conducteur VTC"

Limiter ou pas les sessions d'examen ?
Cependant, si cette idée "nouvelle" de limiter le nombre de sessions contrarie les plateformes, cela ne semble pas déranger les chauffeurs. Au contraire, le syndicat Unsa-VTC, qui représente non pas les plateformes type Uber mais leurs partenaires chauffeurs, explique même à La Tribune s'être vivement opposé aux représentants des plateformes, lundi, lors de la concertation en question.

Lire aussi : VTC, un syndicat officiel est affilié à l'Unsa

Et pour cause, celles-ci auraient souhaité qu'il n'y ait pas de restriction, ou alors une session par semaine au minimum, assure-t-il, tandis que du point de vue du défenseur des intérêts des chauffeurs, une par trimestre serait amplement suffisante. Au risque, sinon, de précariser encore davantage leur profession, met-il en garde.

Les plateformes ne représentent pas les chauffeurs
C'est pourquoi l'Unsa-VTC tient à remettre les pendules à l'heure, en se démarquant bien des signataires de la lettre, "qui ne représentent absolument pas les chauffeurs", insiste son porte-parole.

Ces représentants de chauffeurs souhaitent en effet que leurs conditions de recrutement se rapprochent au maximum de celles des taxis. A tel point qu'ils n'étaient à l'origine pas pour le remplacement des heures de formation par un examen, mais pour leur cumul et une complémentarité entre les deux. Et le syndicat de lancer:

"Nous voulons une formation identique, voire plus qualifiante que celle des taxis"

Une formation commune avec les taxis ?
Au moins un tronc commun. Ce qui serait une bonne solution aux yeux de Yann Ricordel, le patron des Taxis Bleus.

Selon lui, le défaut vient plutôt des conditions de passage de l'examen. Tel que cela a été présenté, explique-t-il à La Tribune, le projet serait de faire passer les examens dans les centres de formation de chauffeurs. Les mêmes centres seraient ainsi chargés de rédiger eux-mêmes le questionnaire, et de l'envoyer aux autorités compétentes pour validation. Sachant qu'une absence de réponse vaudrait validation du questionnaire en question. Les corrections ne seraient en revanche pas faites dans le même centre de formation, mais par un autre. Autrement dit, les écoles de chauffeurs les forment, rédigent les questions et font elles-mêmes passer l'examen à leurs élèves, qui ont payé pour leur formation... "Cela pose un réel problème", estime Yann Ricordel. Un avis d'ailleurs partagé par le syndicat Unsa-VTC.

Reste la question de la limitation du nombre de sessions : pourquoi seraient-elles restreintes à trois, quatre, ou cinq par an ? Et avec à chaque fois, quel nombre de places disponibles par session ? Comment ces critères sont-ils établis ? "C'est comme le nombre initial de 250 heures de formation. A l'origine, d'où ce chiffre est-il sorti ? ", s'interroge Nicolas Louvet, du bureau de recherche 6-t. "Il faudrait peut-être se poser les bonnes questions", glisse-t-il. A bon entendeur...


[/
QUOTE] http://www.latribune.fr/entreprises...-plateformes-type-uber-542682.html#xtor=AL-13
 
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Réactions: Spike et pinard



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