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Toulouse Les VTC chargeaient des clients alcoolisés et leur faisaient faire des cartes bancaires astronomiques


Toulouse Les VTC chargeaient des clients alcoolisés et leur faisaient faire des cartes bancaires astronomiques

  • Auteur de la discussion AZF
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Natan

Zoneur Averti
HEETCH
11 Septembre 2019
1 890
2 355
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Paris
Il n'y a rien de plus que des accusations sans fondement, histoire de traîner des chauffeurs dans la boue. C'est nul de dire que les chauffeurs ont tort alors que ce n'est pas prouvé ! C'est juste des policiers et des articles de presse très vides

Il suffit que les chauffeurs aient des bons de commande et voilà, l'histoire est réglée ;)

Mais on en parlera pas après car ce qui compte c'est de dire que 3 VTC sont des escrocs (ils le sont peut-être, mais ce n'est pas prouvé, il ne faut pas juger trop tôt :))
 
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Kuikui

On grandit de ses erreurs
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1 Novembre 2016
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Paris
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Nan mais lire l'article prend 15 secondes et il n'y a aucune info sérieuse. Les chauffeurs avaient des bons de commande ? Personne n'en parle alors que c'est important pour l'enquête

Il est juste dit que les VTC sont des méchants par rapport à des gentils fêtards et des policiers ! Pffff
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Kuikui @Kuikui argumenter avec quelqu'un qui chie sur les clients bourrés 😂🤣🤣 Désolé de reprendre des propose de 2018, mais ta réponse m'a vraiment fait rire !

Voir la pièce jointe 8606
entre humour , et quelqu'un qui défendre une cause .... mais en fait non ... y a un fossé .

ne défends pas les fraudeurs , point barre .

et quand on a plus d'argument c'est qu'on se met à rechercher des choses sur les personnes pour détourner du débat .
 
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Abdelou

Zoneur Reconnu
29 Novembre 2014
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Bonjour Natan @Natan .
Il y a plus d'une centaine de victimes.
C'est beaucoup pour une manipulation mediatico policière.
Et c'est tellement facile d'arnaquer les clients ivres en modifiant le montant à payer.
Ton point de vue est détonnant dans tes écrits.
Le culte de prendre le contre pieds des autres comporte des risques.
 


WATTAM

Zoneur Vérifié
VTC
27 Avril 2020
136
126
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Montpellier
Il n'y a rien de plus que des accusations sans fondement, histoire de traîner des chauffeurs dans la boue. C'est nul de dire que les chauffeurs ont tort alors que ce n'est pas prouvé ! C'est juste des policiers et des articles de presse très vides

Il suffit que les chauffeurs aient des bons de commande et voilà, l'histoire est réglée ;)

Mais on en parlera pas après car ce qui compte c'est de dire que 3 VTC sont des escrocs (ils le sont peut-être, mais ce n'est pas prouvé, il ne faut pas juger trop tôt :))
c'est vrais ta raison a TOULOUSE, 130 INConnues ivrognes, sans se connaitre, ont decidé de s'unir pour salir les VTC , aprés un jeux de papier , ciseaux , calloux ,avec la liste des VTC de toute la ville en mains , le hasard à designé ces 3 chauffeurs.. et c'est pas tout ...mais on ne peut pas en parler ici, ils sont là et nous ecoutent...en vrais ces 3 vtc detiennent le code, qui ouvre le coffre, ou est enfermé le lunceul , d'abraham..bref je crains pour ma vie là. j'en ai trop dis ouppsss
 


Kuikui

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VTC
1 Novembre 2016
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Paris
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VAN
puis en france pour être déféré , c'est que l'enquête est bien aboutie, et avoir des preuves ...
 
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Natan

Zoneur Averti
HEETCH
11 Septembre 2019
1 890
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Paris
Ok, c'est 1957 et c'est un peu long à lire mais ce film "12 hommes en colère" ou "12 angry men" démonternt qu'il ne faut pas juger trop vite. Mais j'avoue c'est long à lire. Un petit résumé (sauf pour ceux qui ont vu le film :)) :

Aux États-Unis, douze hommes forment le jury d'un procès criminel. Ils doivent statuer à l'unanimité sur le sort d'un jeune homme, accusé de parricide. S'il est déclaré coupable, la chaise électrique sera la sentence. S'il est déclaré innocent, il sera libre.


Les douze membres du jury viennent de terminer d'écouter le procès et se regroupent dans une pièce spécifique, à l'écart de la salle d'audience, pour statuer. Le Procureur Général leur a déclaré que la vie d'un homme est entre leurs mains ; et qu'en fonction de la sentence qu'ils établiront, ils peuvent envoyer l'accusé sur la chaise électrique (s'il est déclaré coupable à l'unanimité), le déclarer innocent (à l'unanimité) ou se déclarer divisés si les membres du jury ne parviennent pas à se départager entre eux.

Un vote à main levée est établi dès que les jurés prennent place autour de la table. Onze d'entre eux pensent l'accusé coupable. Seul le juré no 8, un architecte, n'est simplement pas certain de la culpabilité de l'accusé. La portée symbolique, le poids moral d'envoyer possiblement une personne vers la mort l'incite à chercher le débat auprès des autres jurés.

Le juré no 8 estime que des failles existent dans l'enquête. Il en veut pour exemple le couteau qui a été utilisé pour le meurtre. Après avoir demandé à l'huissier de faire venir la pièce à conviction, présentée par des témoins comme « unique », il prouve que ce style de couteau à cran d'arrêt peut être trouvable sans grandes difficultés. Il a fait acquisition d'une arme blanche du même type pour six dollars dans une boutique de prêt sur gages. Il l'expose sur la table, sous les yeux ébahis des autres jurés qui conviennent que les deux armes ont un manche identique.

Après une discussion de quelques minutes, le juré no 8 propose un nouveau vote, cette fois à bulletins secrets et sans qu'il y prenne part. il propose de se ranger à l'avis dominante si tous votent coupable. Dans le cas contraire, on discutera de l'affaire. Les onze jurés acceptent. Parmi les bulletins anonymes comptabilisés, l'un d'eux indique « non coupable ». Le juré no 9 (le voisin de table du juré no 8 et l'homme le plus âgé de la pièce) rend public que ce vote vient de lui. Ainsi, il souhaite démêler le quiproquo qu'un juré irascible, le no 3, laisse peser sur un autre juré qu'il croit à tort être l'auteur du retournement de vote. Le juré no 9 indique aussi son point de vue : il comprend les doutes exprimés par l'architecte et veut le remercier d'avoir eu la force morale de faire face aux autres jurés, seul.

Le débat arrive ensuite sur le témoin auditif qui a déclaré sous serment avoir entendu le corps tomber et le garçon crier à la victime : « Je vais te tuer », alors que le fracas du métro aérien, tout proche, ne permettait probablement pas d'entendre nettement. Le juré no 5, qui a déjà vécu aux abords du métro aérien, change d'avis et vote non coupable. Le juré no 3, très irascible, fait à nouveau preuve de son manque de sang-froid pour se plaindre de son comportement.

Le juré no 11, lui, a des doutes sur une explication avancée par l'accusation. Il interroge l'assemblée sur la pertinence d'expliquer par la simple panique le fait que le garçon ait laissé son couteau sur les lieux du crime. En effet, il n'y a pas d'empreintes relevées sur le couteau, dont le manche a été essuyé à propos. Cela voudrait donc dire que bien que paniqué, le jeune homme ait tout de même songé à bien essuyer le manche de son arme pour le laisser sur les lieux puis revenir le chercher par la suite et se faire cueillir par la police déjà avertie du crime. Cela semble peu crédible. Un nouveau vote est décidé au cours duquel, après une hésitation, le juré no 11 vote non coupable à son tour.


Le juré no 8 (Henry Fonda, à gauche) en discussion avec un autre juré.
Le débat se prolonge à nouveau sur le témoin auditif qui a également affirmé avoir vu le garçon s'enfuir après le crime. Pourtant, lorsque le juré no 8 fait une reconstitution du trajet entre le lit du vieillard et sa porte, s'aidant pour cela du plan des lieux, il s'avère que le temps est beaucoup plus long en réalité que celui établi dans le témoignage. Quarante secondes d'après la faiblesse de la jambe affaiblie du vieil homme, contre dix ou quinze d'après son propre témoignage.

Le juré no 3 perd franchement son calme et veut s'en prendre physiquement au juré no 8 en lui déclarant « qu'il va le tuer », ce qui démontre que cette phrase peut être prononcée sans vouloir passer à l'acte. Les jurés no 2 et no 6 changent leur vote et sont en faveur de la non-culpabilité.

Vient ensuite la façon dont l'arme a été utilisée : l'accusé savait apparemment bien s'en servir, d'après l'accusation. Le juré no 5 sait comment les jeunes manipulent ce type d'arme dans le quartier où a eu lieu le meurtre, pour avoir vécu dans ce genre d'endroit et avoir assisté à des bagarres de rues. Le positionnement de la plaie est verticale ; pourtant un couteau à cran d'arrêt venant d'être ouvert créé des plaies horizontales car la façon dont la lame est placée modifie la posture du poignet. De cette façon, le juré no 5 démontre que l'arme du crime a été employée d'une façon vraiment maladroite pour une personne qui est habituée à ce genre d'arme.

Trois nouveaux jurés changent d'avis et votent « non coupable ». Il ne reste que trois jurés à retourner pour obtenir l'unanimité et prononcer le verdict : le juré no 4, le juré no 3 qui maintient vigoureusement son accusation contre le jeune homme et veut son exécution rapide et le juré no 10 qui tient pour conviction que l'accusé ne peut pas être respectable puisqu'il vient d'un quartier pauvre. Il tente de convaincre les autres que la pauvreté puisse être un signe extérieur avéré de criminalité, utilisant sans interruption des arguments ouvertement racistes durant plus d'une minute. Au fil de sa diatribe, les jurés se mettent les uns après les autres à lui tourner le dos, à regarder par la fenêtre ou à éloigner leurs chaises de lui pour montrer leur désapprobation vis-à-vis de ses paroles déplaisantes et cruelles.

Le juré no 4 se fie au témoignage visuel d'une femme qui a déclaré avoir vu le crime se commettre en face de chez elle à travers les rames du métro aérien. Le juré no 9 a remarqué qu'elle avait, lors de l'audience, des traces particulières sur le haut du nez. Voyant par hasard ces mêmes empreintes sur le nez du juré no 4 qui se frotte l'arrête nasale, il comprend qu'elle porte (comme le juré no 4) habituellement des lunettes. Il est présumé qu'elle ne les portait pas lors de l'audience par une probable coquetterie. Puisque sa déclaration était qu'elle s'était couchée et se trouvait dans son lit lorsque le crime a commencé à se produire, il y a un doute sur le fait qu'elle ait pu voir nettement la scène.

Les jurés no 4 et no 10 votent non coupable. Le juré no 3, isolé, tente de défendre sa position. Face au silence réprobateur des onze autres jurés, il déchire la photo de son fils, éclate en sanglots et change d'avis. C'est son conflit avec son propre enfant, avec lequel il est brouillé depuis plusieurs années, qu'il projetait dans cette affaire.


:)
 


driverzonard

Le petit colibri : « Je fais ma part »
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12 Décembre 2019
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Il n'y a rien de plus que des accusations sans fondement, histoire de traîner des chauffeurs dans la boue. C'est nul de dire que les chauffeurs ont tort alors que ce n'est pas prouvé ! C'est juste des policiers et des articles de presse très vides
La présomption d’innocence existe et elle est accordée à tous. Tant que le tribunal ne les a pas condamné ils sont « présumés innocents ». Mais cela ne veut pas dire qu’ils sont RÉELLEMENT innocents et n’ont rien fait. A moins que ce ne soit encore un complot du syndicat des TAXIS qui ont fait agir les VTC a l’insu de leur plein gré :joy: :cool::p:eek:
 
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Réactions: Natan, Abdelou et AZF


WATTAM

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27 Avril 2020
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Ok, c'est 1957 et c'est un peu long à lire mais ce film "12 hommes en colère" ou "12 angry men" démonternt qu'il ne faut pas juger trop vite. Mais j'avoue c'est long à lire. Un petit résumé (sauf pour ceux qui ont vu le film :)) :

Aux États-Unis, douze hommes forment le jury d'un procès criminel. Ils doivent statuer à l'unanimité sur le sort d'un jeune homme, accusé de parricide. S'il est déclaré coupable, la chaise électrique sera la sentence. S'il est déclaré innocent, il sera libre.


Les douze membres du jury viennent de terminer d'écouter le procès et se regroupent dans une pièce spécifique, à l'écart de la salle d'audience, pour statuer. Le Procureur Général leur a déclaré que la vie d'un homme est entre leurs mains ; et qu'en fonction de la sentence qu'ils établiront, ils peuvent envoyer l'accusé sur la chaise électrique (s'il est déclaré coupable à l'unanimité), le déclarer innocent (à l'unanimité) ou se déclarer divisés si les membres du jury ne parviennent pas à se départager entre eux.

Un vote à main levée est établi dès que les jurés prennent place autour de la table. Onze d'entre eux pensent l'accusé coupable. Seul le juré no 8, un architecte, n'est simplement pas certain de la culpabilité de l'accusé. La portée symbolique, le poids moral d'envoyer possiblement une personne vers la mort l'incite à chercher le débat auprès des autres jurés.

Le juré no 8 estime que des failles existent dans l'enquête. Il en veut pour exemple le couteau qui a été utilisé pour le meurtre. Après avoir demandé à l'huissier de faire venir la pièce à conviction, présentée par des témoins comme « unique », il prouve que ce style de couteau à cran d'arrêt peut être trouvable sans grandes difficultés. Il a fait acquisition d'une arme blanche du même type pour six dollars dans une boutique de prêt sur gages. Il l'expose sur la table, sous les yeux ébahis des autres jurés qui conviennent que les deux armes ont un manche identique.

Après une discussion de quelques minutes, le juré no 8 propose un nouveau vote, cette fois à bulletins secrets et sans qu'il y prenne part. il propose de se ranger à l'avis dominante si tous votent coupable. Dans le cas contraire, on discutera de l'affaire. Les onze jurés acceptent. Parmi les bulletins anonymes comptabilisés, l'un d'eux indique « non coupable ». Le juré no 9 (le voisin de table du juré no 8 et l'homme le plus âgé de la pièce) rend public que ce vote vient de lui. Ainsi, il souhaite démêler le quiproquo qu'un juré irascible, le no 3, laisse peser sur un autre juré qu'il croit à tort être l'auteur du retournement de vote. Le juré no 9 indique aussi son point de vue : il comprend les doutes exprimés par l'architecte et veut le remercier d'avoir eu la force morale de faire face aux autres jurés, seul.

Le débat arrive ensuite sur le témoin auditif qui a déclaré sous serment avoir entendu le corps tomber et le garçon crier à la victime : « Je vais te tuer », alors que le fracas du métro aérien, tout proche, ne permettait probablement pas d'entendre nettement. Le juré no 5, qui a déjà vécu aux abords du métro aérien, change d'avis et vote non coupable. Le juré no 3, très irascible, fait à nouveau preuve de son manque de sang-froid pour se plaindre de son comportement.

Le juré no 11, lui, a des doutes sur une explication avancée par l'accusation. Il interroge l'assemblée sur la pertinence d'expliquer par la simple panique le fait que le garçon ait laissé son couteau sur les lieux du crime. En effet, il n'y a pas d'empreintes relevées sur le couteau, dont le manche a été essuyé à propos. Cela voudrait donc dire que bien que paniqué, le jeune homme ait tout de même songé à bien essuyer le manche de son arme pour le laisser sur les lieux puis revenir le chercher par la suite et se faire cueillir par la police déjà avertie du crime. Cela semble peu crédible. Un nouveau vote est décidé au cours duquel, après une hésitation, le juré no 11 vote non coupable à son tour.


Le juré no 8 (Henry Fonda, à gauche) en discussion avec un autre juré.
Le débat se prolonge à nouveau sur le témoin auditif qui a également affirmé avoir vu le garçon s'enfuir après le crime. Pourtant, lorsque le juré no 8 fait une reconstitution du trajet entre le lit du vieillard et sa porte, s'aidant pour cela du plan des lieux, il s'avère que le temps est beaucoup plus long en réalité que celui établi dans le témoignage. Quarante secondes d'après la faiblesse de la jambe affaiblie du vieil homme, contre dix ou quinze d'après son propre témoignage.

Le juré no 3 perd franchement son calme et veut s'en prendre physiquement au juré no 8 en lui déclarant « qu'il va le tuer », ce qui démontre que cette phrase peut être prononcée sans vouloir passer à l'acte. Les jurés no 2 et no 6 changent leur vote et sont en faveur de la non-culpabilité.

Vient ensuite la façon dont l'arme a été utilisée : l'accusé savait apparemment bien s'en servir, d'après l'accusation. Le juré no 5 sait comment les jeunes manipulent ce type d'arme dans le quartier où a eu lieu le meurtre, pour avoir vécu dans ce genre d'endroit et avoir assisté à des bagarres de rues. Le positionnement de la plaie est verticale ; pourtant un couteau à cran d'arrêt venant d'être ouvert créé des plaies horizontales car la façon dont la lame est placée modifie la posture du poignet. De cette façon, le juré no 5 démontre que l'arme du crime a été employée d'une façon vraiment maladroite pour une personne qui est habituée à ce genre d'arme.

Trois nouveaux jurés changent d'avis et votent « non coupable ». Il ne reste que trois jurés à retourner pour obtenir l'unanimité et prononcer le verdict : le juré no 4, le juré no 3 qui maintient vigoureusement son accusation contre le jeune homme et veut son exécution rapide et le juré no 10 qui tient pour conviction que l'accusé ne peut pas être respectable puisqu'il vient d'un quartier pauvre. Il tente de convaincre les autres que la pauvreté puisse être un signe extérieur avéré de criminalité, utilisant sans interruption des arguments ouvertement racistes durant plus d'une minute. Au fil de sa diatribe, les jurés se mettent les uns après les autres à lui tourner le dos, à regarder par la fenêtre ou à éloigner leurs chaises de lui pour montrer leur désapprobation vis-à-vis de ses paroles déplaisantes et cruelles.

Le juré no 4 se fie au témoignage visuel d'une femme qui a déclaré avoir vu le crime se commettre en face de chez elle à travers les rames du métro aérien. Le juré no 9 a remarqué qu'elle avait, lors de l'audience, des traces particulières sur le haut du nez. Voyant par hasard ces mêmes empreintes sur le nez du juré no 4 qui se frotte l'arrête nasale, il comprend qu'elle porte (comme le juré no 4) habituellement des lunettes. Il est présumé qu'elle ne les portait pas lors de l'audience par une probable coquetterie. Puisque sa déclaration était qu'elle s'était couchée et se trouvait dans son lit lorsque le crime a commencé à se produire, il y a un doute sur le fait qu'elle ait pu voir nettement la scène.

Les jurés no 4 et no 10 votent non coupable. Le juré no 3, isolé, tente de défendre sa position. Face au silence réprobateur des onze autres jurés, il déchire la photo de son fils, éclate en sanglots et change d'avis. C'est son conflit avec son propre enfant, avec lequel il est brouillé depuis plusieurs années, qu'il projetait dans cette affaire.


:)
je suis assez vieux pour avoir vu ce film, candy et goldorak, bref arretons de defendre pour defendre..., ou toujours vouloir trouver des explications.. je dis simplement qu'on ne se ballade pas dans la rue pour arreter 3 vtc au hasard.
 
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Réactions: Abdelou


Natan

Zoneur Averti
HEETCH
11 Septembre 2019
1 890
2 355
Localité
Paris
Oui mais de là à croire des policiers (qui ne sont et ne seront jamais juges) ou pire encore, de la presse bidon. Moi j'attends la suite s'il y en a une

La fin du résumé quand-même :) :

Le scénario du film sert de révélateur des motivations et des préjugés d'hommes issus de milieux différents. Le verdict final est la non-culpabilité pour cause de doute raisonnable et les jurés sortent du tribunal.
 



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