Vous consultez :
Presse Uber va mener des contrôles inopinés de ses chauffeurs par selfie


Presse Uber va mener des contrôles inopinés de ses chauffeurs par selfie


AZF

La passion du VTC
PREMIUM
MODO
VTC
14 Décembre 2016
5 772
6 094
Localité
Paris
Véhicule
Toyota Prius 4
La compagnie lutte contre la fraude des chauffeurs qui tentent de travailler sans carte de VTC ou de louer leur compte à d’autres
1576531362343.png

A partir de lundi, Uber va demander à ses 30 000 chauffeurs opérant en France de se prendre en selfie pour vérifier qu'ils sont bien, eux-mêmes, au volant du véhicule, et non quelqu'un d'autre. Cette décision intervient alors que l'entreprise est confrontée aux témoignages de victimes d'agression sexuelles accusant des des chauffeurs indépendants.

Après une rencontre le 12 décembre avec Marlène Schiappa, secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, l'entreprise de VTC a décidé d'imposer cette mesure de contrôle pour lutter contre la fraude. Cette photo du chauffeur sera comparée en temps réel avec sa photographie enregistrée dans la base de données par les équipes de la plateforme.

«La confiance a été érodée »
Selon Uber, ces contrôles seront aléatoires mais fréquents. Ils visent à limiter le risque de fraude de certains chauffeurs qui tenteraient de s'intégrer à la plateforme sans avoir de carte de VTC. Il s'agit aussi d'empêcher certains chauffeurs de louer un compte avec tous les risques que cette usurpation d'identité comporte pour les clients.

Jusqu'à présent, l'entreprise recommandait à ses clients de vérifier la plaque d'immatriculation, le modèle et la marque du véhicule, ainsi que la photo et le nom du chauffeur, grâce au SMS envoyé au moment où ils ont commandé la course. En cas de doute, Uber demandait à ses clients de pas monter à bord.

« Suite au signalement d'agressions sexuelles inacceptables, la confiance de nos utilisatrices a été érodée. Nous sommes résolus à la retrouver en prenant des mesures de prévention, de lutte contre les violences sexuelles et d'accompagnement des victimes », explique Steve Salom, le directeur d'Uber pour la France.

Vers une base de données commune aux plateformes
Selon la loi, un contrôle visuel des chauffeurs par les plateformes est obligatoire une fois par an. Mais pendant cette période, il est impossible de vérifier si un chauffeur a toujours son permis ou si son identité a été usurpée.

Pour aller plus loin, Uber a demandé aux pouvoirs publics que soit créée en Franceune base de données officielle pour toutes les plateformes VTC. L'idée est qu'un chauffeur dont le compte a été désactivé d'une plateforme à la suite d'une agression sexuelle ne puisse plus s'inscrire et conduire pour un autre prestataire.
http://www.leparisien.fr/societe/ub...tm_campaign=twitter_partage&utm_medium=social
 




Helia

VTC à la retraite
VTC
6 Mars 2019
2 273
1 890
Localité
Paris
Véhicule
Toyota Auris TS
oui le code je l'ai de temps en temps quand le client a fait sa demande de prise en charge genre sur le tarmac et quand tu veux demarrer la course il demande le code que doit te donner le client.
Ou alors quand tu demarres la course et que tu es trop eloigne du lieu de pc que le client a indique. Parfois la PC est dans une residence fermee ou alors avec les embouteillages le client s'est rapproche d'un carrefour et du coup, code demandé.
 



Youtube Uberzone

Sponsors