- 14 Décembre 2016
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- 6 119
- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
Coronavirus : découvrez l'effondrement du trafic routier, ferroviaire et aérien en raison du confinement
Un pays figé. Depuis l'entrée en vigueur, mardi 17 mars, d'un confinement partiel pour lutter contre le coronavirus, la France est à l'arrêt ou presque, du moins concernant ses transports. Les données auxquelles Franceinfo a pu avoir accès montrent un effondrement presque généralisé du transport routier, ferroviaire ou aérien dans tout le pays.
La réduction du trafic routier est la plus visible. Les rues de certaines villes sont presque désertes, les autoroutes bien moins fréquentées... Cette impression est confirmée par les données des GPS Tomtom, qui permettent de visualiser précisément l'évolution du trafic dans plusieurs villes de France.
Des embouteillages quasi inexistants dans les grandes villes
Les graphiques ci-dessous représentent l'évolution du niveau d'embouteillage (appelé aussi le taux de congestion) pour six grandes villes françaises. Il correspond au temps passé dans les embouteillages et est calculé à partir des temps de parcours des utilisateurs comparé aux temps de trajets en conditions totalement fluides.
Dans les six villes étudiées, ce taux de congestion s'est effondré depuis la mise en place du confinement : il a baissé de 83,7% à Paris, de 67% à Marseille et de 59% à Strasbourg. Il est resté le plus élevé à Marseille, avec une moyenne de 9,1% du mardi 17 au vendredi 20 mars, contre 3,8% à Paris.
Vous y trouverez l'évolution du taux de congestion heure par heure, du 9 au 22 mars, avec en gris les données pour 2019, et en jaune les données de ces dernières semaines. La ligne verticale grise correspond au mardi 17 mars à midi, quand le confinement est entré en vigueur.
Un pays figé. Depuis l'entrée en vigueur, mardi 17 mars, d'un confinement partiel pour lutter contre le coronavirus, la France est à l'arrêt ou presque, du moins concernant ses transports. Les données auxquelles Franceinfo a pu avoir accès montrent un effondrement presque généralisé du transport routier, ferroviaire ou aérien dans tout le pays.
La réduction du trafic routier est la plus visible. Les rues de certaines villes sont presque désertes, les autoroutes bien moins fréquentées... Cette impression est confirmée par les données des GPS Tomtom, qui permettent de visualiser précisément l'évolution du trafic dans plusieurs villes de France.
Des embouteillages quasi inexistants dans les grandes villes
Les graphiques ci-dessous représentent l'évolution du niveau d'embouteillage (appelé aussi le taux de congestion) pour six grandes villes françaises. Il correspond au temps passé dans les embouteillages et est calculé à partir des temps de parcours des utilisateurs comparé aux temps de trajets en conditions totalement fluides.
Dans les six villes étudiées, ce taux de congestion s'est effondré depuis la mise en place du confinement : il a baissé de 83,7% à Paris, de 67% à Marseille et de 59% à Strasbourg. Il est resté le plus élevé à Marseille, avec une moyenne de 9,1% du mardi 17 au vendredi 20 mars, contre 3,8% à Paris.
Vous y trouverez l'évolution du taux de congestion heure par heure, du 9 au 22 mars, avec en gris les données pour 2019, et en jaune les données de ces dernières semaines. La ligne verticale grise correspond au mardi 17 mars à midi, quand le confinement est entré en vigueur.
INFOGRAPHIES. Coronavirus : découvrez l'effondrement du trafic routier, ferroviaire et aérien en raison du confinement
Des routes parfois désertes, des trains à l'arrêt, des lignes aériennes réduites... Depuis le 17 mars à midi, la France vit au ralenti, comme le montrent les données des différents moyens de transport.
www.francetvinfo.fr
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