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À l'âge du numérique, comment les plateformes voient d'un mauvais oeil les groupements de chauffeurs VTC


À l'âge du numérique, comment les plateformes voient d'un mauvais oeil les groupements de chauffeurs VTC


AZF

La passion du VTC
PREMIUM
MODO
VTC
14 Décembre 2016
5 783
6 110
Localité
Paris
Véhicule
Toyota Prius 4
Pour l'heure, les plates-formes ont semblé peu intéressées par cette solution, indiquent les auteurs de la note. Il est vrai que la solution de la charte pouvait leur sembler plus simple et plus avantageuse. Par ailleurs, la création de coopératives d'activités et d'emplois aurait pour conséquence de créer un collectif regroupant les chauffeurs de VTC, ce que les dirigeants des plates-formes ne voient pas forcément d'un très bon oeil. D'autant qu'à terme, ce collectif pourrait négocier pour le compte des chauffeurs qu'elle emploie. On imagine qu'Uber, Lyft, Stuart ou Deliveroo préfèrent négocier directement avec les chauffeurs qu'avec un collectif qui les réunira.

 



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