Vous consultez : Paradoxe et gros doute chez les VTC

[Privates]

Bonjour à tous,

Vraiment pas évident de se projeter sur l'activité VTC en 2018... D'un côté, avec la baisse annoncée du nombre de chauffeurs, on pourrait y voir une amélioration de la rentabilité.
De l'autre côté, on peut y voir une baisse de l'activité qui profitera aux taxis et solutions de covoiturage.

Une certitude à ce stade, les chauffeurs VTC seront moins nombreux et surtout seront des indépendants très majoritairement vu qu'ils devront être titulaires de la carte VTC.

À partir de ce constat, la question du rapport de force entre chauffeurs VTC indépendants et plateformes se pose.

Elle se pose avec beaucoup de force car la survie de l'activité des plateformes et celle des chauffeurs en dépend.

Pour que les clients fassent encore appel à des VTC, il faut que les prix soient intéressants. Pour que les chauffeurs continuent à exercer, il faut que l'activité soit rentable. La baisse des prix fait fuir les chauffeurs VTC. La hausse des prix fait fuir les clients...
La solution serait donc de développer un nouveau modèle économique et c'est là que la question de la suppression de la commission se pose avec force.

En effet, pour que les clients fassent appel aux VTC et que les VTC soient rentables, il faut supprimer le système des commissions qui est injuste car ne profite qu'aux plateformes.

On commence à entendre parler d'un système d'abonnement fixe mensuel remplaçant le système des commissions et ça, ça paraît juste.

Autre question qui va se poser avec force est celle de l'organisation collective des VTC. Avec la fin annoncée des LOTI, les intérêts communs entre les VTC titulaires de la carte seront plus clairement définis et la profession pourra mieux s'organiser.

Reste à savoir sous quelle forme s'organisera la profession...

A mon avis, avec la nouvelle équation à venir, les rapprochements entre chauffeurs VTC se feront naturellement pour opérer un rapport de force avec les plateformes qui auront également besoin de fidéliser un nombre important de chauffeurs VTC.

En conclusion, à partir de 2018, chauffeurs et plateformes seront obligés d'être dans une véritable relation de partenariat et les chauffeurs seront obligés de s'organiser collectivement.

Hélas ce n est pas du tout cela pour info chez Marcel ils ont 1500 chauffeurs et seulement 200 LOTI donc rien ne va changer chez eux et les autres faut pas rêver rappeler vous quand la fin d Uber pop étais annonce ont nos a vendu plus de courses des prix plus haut rien quand heetch a disparu de son ancienne forme pareil sur le résultat c est une profession non réglementée pas de prix minimum légal vous pouvez travailler à perte ou en concurrence déloyale avec des prix au raz des pâquerettes personne ne vous l interdit.
2018 ne changera rien c est à l état de mettre des garde fou sur cette profession la preuve les racoleurs des aéroports et gares rien à changer toujours aussi nombreux si ce n est plus

 

[Hakimou]

Hélas ce n est pas du tout cela pour info chez Marcel ils ont 1500 chauffeurs et seulement 200 LOTI donc rien ne va changer chez eux et les autres faut pas rêver rappeler vous quand la fin d Uber pop étais annonce ont nos a vendu plus de courses des prix plus haut rien quand heetch a disparu de son ancienne forme pareil sur le résultat c est une profession non réglementée pas de prix minimum légal vous pouvez travailler à perte ou en concurrence déloyale avec des prix au raz des pâquerettes personne ne vous l interdit.
2018 ne changera rien c est à l état de mettre des garde fou sur cette profession la preuve les racoleurs des aéroports et gares rien à changer toujours aussi nombreux si ce n est plus

Je ne suis pas d'accord, la fin de Uber pop bénéficiait surtout aux capacitaires qui embauchaient des permis B. Désormais, avec la loi GG, il n'y aura plus de permis B qui pourront travailler, ce qui permettra d'assainir l'activité. Surtout le fait d'être titulaire de la carte VTC donnera un statut professionnel aux chauffeurs VTC qui leur permettra enfin de se regrouper dans diverses structures (associations, syndicats...) et de pouvoir entrer en dialogue avec les plateformes.
Avec la fin des LOTI qui regroupe majoritairement des chauffeurs salariés, les VTC en 2018 seront très majoritairement des indépendants et la profession devra s'organiser.