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Presse De nombreux mensonges sont véhiculés dans les médias...


Presse De nombreux mensonges sont véhiculés dans les médias...


AZF

La passion du VTC
PREMIUM
MODO
VTC
14 Décembre 2016
5 783
6 110
Localité
Paris
Véhicule
Toyota Prius 4
Grand-guillaume

je vous cite l'article intéressant que Grand-guillaume a publier sur son blog


De nombreux mensonges sont actuellement véhiculés dans les médias par quelques plateformes sur la loi. Il est donc temps de rappeler quelques vérités.

Suite à la médiation que j’avais menée, à la demande du Premier Ministre et du Président de la République, « la loi du 29 décembre 2016 relative à la régulation, à la responsabilisation et à la simplification dans le secteur du transport public particulier de personnes », dite loi Grand-guillaume, avait été votée à l’unanimité au Parlement.

Elle pacifie le secteur du transport public particulier de personnes (Taxis, Vtc). Elle protège les consommateurs, comme les chauffeurs, de pratiques dignes d’un autre âge. Il faut rappeler qu'à l'époque le conflit entre les chauffeurs de taxis, les chauffeurs de VTC et les plateformes était très dur.

De nombreux mensonges sont actuellement véhiculés dans les médias par quelques plateformes sur la loi. Il est donc temps de rappeler quelques vérités.


"La loi a mis en place un examen pour les chauffeurs VTC" : C'est faux.


Les examens pour les chauffeurs VTC existaient avant la loi (comme l’indique l’article de LCI ci-dessous, la loi ayant été votée le 29 décembre 2016). Existait également avant la loi l’objectif de mise en place du tronc commun entre l’examen pour les chauffeurs de taxis et celui pour les chauffeurs VTC.

Ce qui a changé c'est le mode d'organisation : les examens sont désormais organisés régulièrement par les chambres des métiers et de l'artisanat sur l'ensemble du territoire.

Les plateformes étaient fortement opposées à ce que les chambres des métiers et de l'artisanat organisent ces examens. Il faut rappeler que ce sont les chambres de métiers et de l'artisanat à qui a été confiée l'organisation des examens car les chauffeurs de taxis et de VTC sont immatriculés dans ces mêmes chambres.

Avant la loi, c'était une véritable anarchie. Pour rappel, voilà comment ça se passait avant :



Il était donc grand temps de remettre de l’ordre et de mettre fin à des systèmes dignes d’un autre âge.


« C’est illogique que des modules communs existent pour les examens de Taxis et de VTC ». C’est faux.


Depuis quand les règles de conduite et du Code de la route sont-elles différentes quand on est chauffeur de taxis ou chauffeur VTC ? Dans les deux cas, ces chauffeurs transportent des personnes et doivent être en possession d’une assurance professionnelle.

Leur honorabilité, c’est-à-dire leur casier judiciaire, est par ailleurs vérifiée en Préfecture puisqu’il s’agit bien de transport des personnes ! Il est vrai que certains voulaient supprimer cette vérification de l’honorabilité. Des amendements avaient même été présentés pendant le débat parlementaire, sous l’impulsion de quelques plateformes.


"La loi a complexifié l'examen pour devenir VTC" : C’est faux.


La loi n'a jamais déterminé le contenu des examens et heureusement ! Autrement, il faudrait changer à chaque fois la loi pour changer une question aux examens. Si les examens sont trop complexes, ils évolueront avec le travail des acteurs des transports qui se réunissent régulièrement avec les pouvoirs publics. Ils ont des représentants dans ce cadre.


« 10.000 chauffeurs se retrouvent sans travail au 1er janvier 2018 ». C’est faux.


Ce chiffre de 10.000 chauffeurs est martelé depuis début 2016 par certaines plateformes qui ont contourné la loi. Elles ont fait appel à un statut de 1982, le statut LOTI, qui était destiné uniquement au transport de groupe (plus de deux personnes par définition). Ce statut a été utilisé pour transporter des personnes seules par le biais des plateformes. Ce statut ne comporte pas de vérification de l'honorabilité des chauffeurs (casier judiciaire), ni d'examen (à part pour le capacitaire qui embauche les chauffeurs).

De nombreux chauffeurs sont effectivement entrés sur le marché, dans le cadre d’un système de marchandage avec une multiplication des sous-traitants, pour concurrencer directement les chauffeurs de Taxis et de VTC, ce qui a entraîné une baisse très forte du prix moyen des courses et une difficulté pour les chauffeurs de pouvoir vivre de leur travail.

Depuis le début de l’année 2016, les plateformes ont toujours refusé, et ce malgré les demandes des pouvoirs publics, de communiquer le nombre réel de chauffeurs LOTI avec lesquels elles travaillaient. Elles se sont même réfugiées derrière les lois existantes pour ne pas communiquer ces éléments, d’où la nécessité de la nouvelle loi du 26 décembre 2016.

A l’époque déjà, et bien avant le vote de la loi du 26 décembre 2016, une équivalence existait, après un an d’exercice en tant que chauffeur LOTI, pour devenir chauffeur VTC en remettant un dossier à la préfecture (bulletins de salaire, ...). La loi du 29 décembre 2016 a prévu une transition d’un an pour permettre à tous les chauffeurs LOTI qui souhaitaient exercer dans ce secteur de pouvoir le faire en tant que VTC. Donc, les chauffeurs ont eu plus d’une année pour demander leur équivalence en préfecture.

La loi prévoit par ailleurs à l’article 2 que les plateformes devront désormais transmettre les données aux pouvoirs publics. C’est le dernier décret d’application qui va être pris par la ministre des transports. Il permettra de mettre fin aux mensonges sur les chiffres.

Enfin, ce qui est sûr, c’est qu’il y a eu un système de travail dissimulé mis en place, peut-être massif. Les personnes qui sont dans cette situation ne peuvent effectivement pas prouver qu’elles ont un an d’expérience en tant que chauffeur LOTI.

Certaines plateformes proposent t'elles de généraliser le travail dissimulé ???

 


Spike

Maître Zoneur
27 Octobre 2015
3 418
4 825
Localité
Lyon
C'est connu ces leviers !

Quand on met en place une action en l'honneur du citoyen y'a une pépite quelque part.

Vous inquiétez pas avant de faire passer la GG ils ont construit in cahiers des probabilités de ouf en tenant compte des vraies structures " etatiques " les plateformes.

L'état ne pouvait pas laisser autant de jeune sur le carreau en imposant des délais court de mise en œuvre.

Ils ont laissé le temps pour que même celui qui plane puisse demander son équivalence et ceux qui ont pas demande tant pis pour eux il n'y en aura pas beaucoup de toute façon.

2018 l'année des faillites en douceur, la pénurie annoncée de chauffeur ne sera bientot qu'un mauvais souvenir (même s'il y aura eu des recales au passage).

Ils auraient dû faire passer le décret n*2 avant toute chose sa aurait fait un sacré Menage !
 
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Réactions: Cypheur et Kery


Cypheur

Zoneur Élite
MODO
VTC
13 Mars 2017
2 504
3 033
Localité
Marseille
Grand-guillaume

je vous cite l'article intéressant que Grand-guillaume a publier sur son blog


De nombreux mensonges sont actuellement véhiculés dans les médias par quelques plateformes sur la loi. Il est donc temps de rappeler quelques vérités.

Suite à la médiation que j’avais menée, à la demande du Premier Ministre et du Président de la République, « la loi du 29 décembre 2016 relative à la régulation, à la responsabilisation et à la simplification dans le secteur du transport public particulier de personnes », dite loi Grand-guillaume, avait été votée à l’unanimité au Parlement.

Elle pacifie le secteur du transport public particulier de personnes (Taxis, VTC). Elle protège les consommateurs, comme les chauffeurs, de pratiques dignes d’un autre âge. Il faut rappeler qu'à l'époque le conflit entre les chauffeurs de taxis, les chauffeurs de VTC et les plateformes était très dur.

De nombreux mensonges sont actuellement véhiculés dans les médias par quelques plateformes sur la loi. Il est donc temps de rappeler quelques vérités.


"La loi a mis en place un examen pour les chauffeurs VTC" : C'est faux.


Les examens pour les chauffeurs VTC existaient avant la loi (comme l’indique l’article de LCI ci-dessous, la loi ayant été votée le 29 décembre 2016). Existait également avant la loi l’objectif de mise en place du tronc commun entre l’examen pour les chauffeurs de taxis et celui pour les chauffeurs VTC.

Ce qui a changé c'est le mode d'organisation : les examens sont désormais organisés régulièrement par les chambres des métiers et de l'artisanat sur l'ensemble du territoire.

Les plateformes étaient fortement opposées à ce que les chambres des métiers et de l'artisanat organisent ces examens. Il faut rappeler que ce sont les chambres de métiers et de l'artisanat à qui a été confiée l'organisation des examens car les chauffeurs de taxis et de VTC sont immatriculés dans ces mêmes chambres.

Avant la loi, c'était une véritable anarchie. Pour rappel, voilà comment ça se passait avant :



Il était donc grand temps de remettre de l’ordre et de mettre fin à des systèmes dignes d’un autre âge.


« C’est illogique que des modules communs existent pour les examens de Taxis et de VTC ». C’est faux.


Depuis quand les règles de conduite et du Code de la route sont-elles différentes quand on est chauffeur de taxis ou chauffeur VTC ? Dans les deux cas, ces chauffeurs transportent des personnes et doivent être en possession d’une assurance professionnelle.

Leur honorabilité, c’est-à-dire leur casier judiciaire, est par ailleurs vérifiée en Préfecture puisqu’il s’agit bien de transport des personnes ! Il est vrai que certains voulaient supprimer cette vérification de l’honorabilité. Des amendements avaient même été présentés pendant le débat parlementaire, sous l’impulsion de quelques plateformes.


"La loi a complexifié l'examen pour devenir VTC" : C’est faux.


La loi n'a jamais déterminé le contenu des examens et heureusement ! Autrement, il faudrait changer à chaque fois la loi pour changer une question aux examens. Si les examens sont trop complexes, ils évolueront avec le travail des acteurs des transports qui se réunissent régulièrement avec les pouvoirs publics. Ils ont des représentants dans ce cadre.


« 10.000 chauffeurs se retrouvent sans travail au 1er janvier 2018 ». C’est faux.


Ce chiffre de 10.000 chauffeurs est martelé depuis début 2016 par certaines plateformes qui ont contourné la loi. Elles ont fait appel à un statut de 1982, le statut LOTI, qui était destiné uniquement au transport de groupe (plus de deux personnes par définition). Ce statut a été utilisé pour transporter des personnes seules par le biais des plateformes. Ce statut ne comporte pas de vérification de l'honorabilité des chauffeurs (casier judiciaire), ni d'examen (à part pour le capacitaire qui embauche les chauffeurs).

De nombreux chauffeurs sont effectivement entrés sur le marché, dans le cadre d’un système de marchandage avec une multiplication des sous-traitants, pour concurrencer directement les chauffeurs de Taxis et de VTC, ce qui a entraîné une baisse très forte du prix moyen des courses et une difficulté pour les chauffeurs de pouvoir vivre de leur travail.

Depuis le début de l’année 2016, les plateformes ont toujours refusé, et ce malgré les demandes des pouvoirs publics, de communiquer le nombre réel de chauffeurs LOTI avec lesquels elles travaillaient. Elles se sont même réfugiées derrière les lois existantes pour ne pas communiquer ces éléments, d’où la nécessité de la nouvelle loi du 26 décembre 2016.

A l’époque déjà, et bien avant le vote de la loi du 26 décembre 2016, une équivalence existait, après un an d’exercice en tant que chauffeur LOTI, pour devenir chauffeur VTC en remettant un dossier à la préfecture (bulletins de salaire, ...). La loi du 29 décembre 2016 a prévu une transition d’un an pour permettre à tous les chauffeurs LOTI qui souhaitaient exercer dans ce secteur de pouvoir le faire en tant que VTC. Donc, les chauffeurs ont eu plus d’une année pour demander leur équivalence en préfecture.

La loi prévoit par ailleurs à l’article 2 que les plateformes devront désormais transmettre les données aux pouvoirs publics. C’est le dernier décret d’application qui va être pris par la ministre des transports. Il permettra de mettre fin aux mensonges sur les chiffres.

Enfin, ce qui est sûr, c’est qu’il y a eu un système de travail dissimulé mis en place, peut-être massif. Les personnes qui sont dans cette situation ne peuvent effectivement pas prouver qu’elles ont un an d’expérience en tant que chauffeur LOTI.

Certaines plateformes proposent t'elles de généraliser le travail dissimulé ???
Merci pour le partage d’article et tes interventions toujours pertinents et intéressants
 
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Réactions: AZF, SIXMONTS et k.h


jovtc

Amen
29 Juin 2015
934
952
Localité
Paris
Grand-guillaume

je vous cite l'article intéressant que Grand-guillaume a publier sur son blog


De nombreux mensonges sont actuellement véhiculés dans les médias par quelques plateformes sur la loi. Il est donc temps de rappeler quelques vérités.

Suite à la médiation que j’avais menée, à la demande du Premier Ministre et du Président de la République, « la loi du 29 décembre 2016 relative à la régulation, à la responsabilisation et à la simplification dans le secteur du transport public particulier de personnes », dite loi Grand-guillaume, avait été votée à l’unanimité au Parlement.

Elle pacifie le secteur du transport public particulier de personnes (Taxis, VTC). Elle protège les consommateurs, comme les chauffeurs, de pratiques dignes d’un autre âge. Il faut rappeler qu'à l'époque le conflit entre les chauffeurs de taxis, les chauffeurs de VTC et les plateformes était très dur.

De nombreux mensonges sont actuellement véhiculés dans les médias par quelques plateformes sur la loi. Il est donc temps de rappeler quelques vérités.


"La loi a mis en place un examen pour les chauffeurs VTC" : C'est faux.


Les examens pour les chauffeurs VTC existaient avant la loi (comme l’indique l’article de LCI ci-dessous, la loi ayant été votée le 29 décembre 2016). Existait également avant la loi l’objectif de mise en place du tronc commun entre l’examen pour les chauffeurs de taxis et celui pour les chauffeurs VTC.

Ce qui a changé c'est le mode d'organisation : les examens sont désormais organisés régulièrement par les chambres des métiers et de l'artisanat sur l'ensemble du territoire.

Les plateformes étaient fortement opposées à ce que les chambres des métiers et de l'artisanat organisent ces examens. Il faut rappeler que ce sont les chambres de métiers et de l'artisanat à qui a été confiée l'organisation des examens car les chauffeurs de taxis et de VTC sont immatriculés dans ces mêmes chambres.

Avant la loi, c'était une véritable anarchie. Pour rappel, voilà comment ça se passait avant :



Il était donc grand temps de remettre de l’ordre et de mettre fin à des systèmes dignes d’un autre âge.


« C’est illogique que des modules communs existent pour les examens de Taxis et de VTC ». C’est faux.


Depuis quand les règles de conduite et du Code de la route sont-elles différentes quand on est chauffeur de taxis ou chauffeur VTC ? Dans les deux cas, ces chauffeurs transportent des personnes et doivent être en possession d’une assurance professionnelle.

Leur honorabilité, c’est-à-dire leur casier judiciaire, est par ailleurs vérifiée en Préfecture puisqu’il s’agit bien de transport des personnes ! Il est vrai que certains voulaient supprimer cette vérification de l’honorabilité. Des amendements avaient même été présentés pendant le débat parlementaire, sous l’impulsion de quelques plateformes.


"La loi a complexifié l'examen pour devenir VTC" : C’est faux.


La loi n'a jamais déterminé le contenu des examens et heureusement ! Autrement, il faudrait changer à chaque fois la loi pour changer une question aux examens. Si les examens sont trop complexes, ils évolueront avec le travail des acteurs des transports qui se réunissent régulièrement avec les pouvoirs publics. Ils ont des représentants dans ce cadre.


« 10.000 chauffeurs se retrouvent sans travail au 1er janvier 2018 ». C’est faux.


Ce chiffre de 10.000 chauffeurs est martelé depuis début 2016 par certaines plateformes qui ont contourné la loi. Elles ont fait appel à un statut de 1982, le statut LOTI, qui était destiné uniquement au transport de groupe (plus de deux personnes par définition). Ce statut a été utilisé pour transporter des personnes seules par le biais des plateformes. Ce statut ne comporte pas de vérification de l'honorabilité des chauffeurs (casier judiciaire), ni d'examen (à part pour le capacitaire qui embauche les chauffeurs).

De nombreux chauffeurs sont effectivement entrés sur le marché, dans le cadre d’un système de marchandage avec une multiplication des sous-traitants, pour concurrencer directement les chauffeurs de Taxis et de VTC, ce qui a entraîné une baisse très forte du prix moyen des courses et une difficulté pour les chauffeurs de pouvoir vivre de leur travail.

Depuis le début de l’année 2016, les plateformes ont toujours refusé, et ce malgré les demandes des pouvoirs publics, de communiquer le nombre réel de chauffeurs LOTI avec lesquels elles travaillaient. Elles se sont même réfugiées derrière les lois existantes pour ne pas communiquer ces éléments, d’où la nécessité de la nouvelle loi du 26 décembre 2016.

A l’époque déjà, et bien avant le vote de la loi du 26 décembre 2016, une équivalence existait, après un an d’exercice en tant que chauffeur LOTI, pour devenir chauffeur VTC en remettant un dossier à la préfecture (bulletins de salaire, ...). La loi du 29 décembre 2016 a prévu une transition d’un an pour permettre à tous les chauffeurs LOTI qui souhaitaient exercer dans ce secteur de pouvoir le faire en tant que VTC. Donc, les chauffeurs ont eu plus d’une année pour demander leur équivalence en préfecture.

La loi prévoit par ailleurs à l’article 2 que les plateformes devront désormais transmettre les données aux pouvoirs publics. C’est le dernier décret d’application qui va être pris par la ministre des transports. Il permettra de mettre fin aux mensonges sur les chiffres.

Enfin, ce qui est sûr, c’est qu’il y a eu un système de travail dissimulé mis en place, peut-être massif. Les personnes qui sont dans cette situation ne peuvent effectivement pas prouver qu’elles ont un an d’expérience en tant que chauffeur LOTI.

Certaines plateformes proposent t'elles de généraliser le travail dissimulé ???
Tout est dit et ecrit
Les demandeurs d'équivalences qui n'ont jamais rien déclarés se tirent une balle dans le pied.
Surtout ceux qui cumulaient assedic rsa etc .....
C'est un secret de polichinelle.

Ceux qui ont fait les choses bien
N'ont rien a se reprocher.
Examen pratique et theorique pour les autres.Dur, mais accessible a tous.
Pour ceux qui veulent un projet de travail
Sans se faire racketter.

Quelques soit les resultats sur le nombre des chauffeurs en moins,
Les applis ou les chauffeurs qui veulent biaiser seront poursuivis et pris tot ou tard
Uber la bien compris

Le turn over des permis B
Qui demaraient leurs journées a moins 150e de course
Loc voiture a 100e + gasoil+ com applis
C'est terminer !

Merci a tous ceux qui ont permis ca
LES CHAUFFEURS en 1er
Les syndicats en second
Et M. GG qui a fait le job.

Meme s'il reste a faire.

Les applis finnissent par payer le prix de leurs strategie et de celle d'UBER.
Un peu tard mais mieux que de continuer ce systeme pyramidale de CAPA qui permettait de tuer tous les chauffeurs sur le terrain 1 par 1.

En attendant les voitures autonomes....
Mais ca c'est un autre chapitre
 
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