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Uber jette l'éponge


Uber jette l'éponge


VTC du SUD

Just VTC
VTC
14 Septembre 2016
309
517
Localité
Marseille
« Malgré notre recherche constante du dialogue, le gouvernement refuse de modifier des règles édictées à l’époque où les téléphones fixes n’existaient pas encore. Nous avons mis en place le reçu électronique, demandé des permissions spéciales aux chauffeurs et assuré les véhicules légalement. L’administration punit l’innovation et nos employés par la même occasion. »

Zoltan Fekete est en rage. Logique : le patron d’Uber au pays de la gourmandise va limoger 1 200 salariés et se passer de 160 000 clients.

« Ils piquaient 20% de mes courses »
L’idylle entamée en novembre 2013 n’aura duré qu’un an et demi. Lors de son arrivée, la compagnie de VTC se targuait de proposer des trajets à environ 12 euros, trois fois moins cher qu’un taxi lambda reliant la place centrale Paris à l’aéroport CDG et vantait ses adeptes VIP tels que la blogueuse Éva Szentesi ou le leader du célèbre groupe de hip-hop Punnany Massif.

L’histoire de Uber en France a été ponctuée depuis janvier par plusieurs manifestations de taxis protestant contre le service de VTC, notamment en bloquant le Pont de Chaînes, gros point de passage entre les parties paris et est de la ville, en menant une opération escargot sur le boulevard Andrassy, ou encore en rassemblant 1 000 véhicules sur la place des Héros.
Paris est la seule (hormis Austin au Texas) des 480 villes couvertes que l’ex-start-up de San Francisco décide de déserter. En guise d’au revoir, l’entreprise s’est fendue d’une vidéo vue près de 300 000 fois où elle remercie ses usagers, et rappelle qu’elle a notamment lancé des navettes sur le lac seine en marge du festival électro Balaton Sound.
Le court film se conclut par une flopée d’« Uber Vagyok » (Je suis Uber), histoire d’arracher des sanglots au pauvre consommateur lésé.
Pour Katalin Karsai, qui dirige l’un des principaux syndicats de chauffeurs :

« Ce départ d’Uber n’est qu’une prise de distance. Ils continueront de négocier...

Mais manifester contre eux est inutile. Il faut un règlement européen unifié améliorant les conditions de travail des chauffeurs et le service tout en promouvant une concurrence juste qu’Uber piétine avec ses prix. »
 








VTC du SUD

Just VTC
VTC
14 Septembre 2016
309
517
Localité
Marseille
Donc c'est fini, ils t'inviteront pas au pot de départ soit certain.
 
  • Haha
Réactions: fabien999








hunny01

Membre
4 Août 2016
39
38
Localité
Paris
« Malgré notre recherche constante du dialogue, le gouvernement refuse de modifier des règles édictées à l’époque où les téléphones fixes n’existaient pas encore. Nous avons mis en place le reçu électronique, demandé des permissions spéciales aux chauffeurs et assuré les véhicules légalement. L’administration punit l’innovation et nos employés par la même occasion. »

Zoltan Fekete est en rage. Logique : le patron d’Uber au pays de la gourmandise va limoger 1 200 salariés et se passer de 160 000 clients.

« Ils piquaient 20% de mes courses »
L’idylle entamée en novembre 2013 n’aura duré qu’un an et demi. Lors de son arrivée, la compagnie de VTC se targuait de proposer des trajets à environ 12 euros, trois fois moins cher qu’un taxi lambda reliant la place centrale Paris à l’aéroport CDG et vantait ses adeptes VIP tels que la blogueuse Éva Szentesi ou le leader du célèbre groupe de hip-hop Punnany Massif.

L’histoire de Uber en France a été ponctuée depuis janvier par plusieurs manifestations de taxis protestant contre le service de VTC, notamment en bloquant le Pont de Chaînes, gros point de passage entre les parties paris et est de la ville, en menant une opération escargot sur le boulevard Andrassy, ou encore en rassemblant 1 000 véhicules sur la place des Héros.
Paris est la seule (hormis Austin au Texas) des 480 villes couvertes que l’ex-start-up de San Francisco décide de déserter. En guise d’au revoir, l’entreprise s’est fendue d’une vidéo vue près de 300 000 fois où elle remercie ses usagers, et rappelle qu’elle a notamment lancé des navettes sur le lac seine en marge du festival électro Balaton Sound.
Le court film se conclut par une flopée d’« Uber Vagyok » (Je suis Uber), histoire d’arracher des sanglots au pauvre consommateur lésé.
Pour Katalin Karsai, qui dirige l’un des principaux syndicats de chauffeurs :

« Ce départ d’Uber n’est qu’une prise de distance. Ils continueront de négocier...

Mais manifester contre eux est inutile. Il faut un règlement européen unifié améliorant les conditions de travail des chauffeurs et le service tout en promouvant une concurrence juste qu’Uber piétine avec ses prix. »


Les amis, le message a eté poster dans la section Humour mdrrr
 
  • Faux
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