On en revient toujours au point Zéro, y compris après des tentatives de conciliation et de médiation.
La seule manière de les faire plier, c'est la GUERRE SUR LE TERRAIN , peuplé de suffisamment de soldats pour la mener avec force, sur tous les fronts.
Uber a pour pratique d'user psychiquement ces adversaires par lassitude, il faut les user avec un mouvement contestataire dure, organisé et sans précèdent.
Player59 et Berliner ont bien raison de dire que l'état et Uber se sont rendus complices d'une alliance fine et peut-être préméditée, ayant eu pour seul objectif de maintenir la courbe du chômage.
Pour ces dirigeants, exit les dégâts qu'ont pu provoquer la monté en puissance d'une économie incontrôlée qui n'aura eu cesse de se jouer des lois française, de la concurrence, et des victimes qu'ont été tous ces chauffeurs ignares du monde de l'entreprise, pressés jusqu'au dernier souffle par un modèle économique affûté.
Malgré cet état des lieux, le gouvernement va laisser une ardoise bien vide au goût amère comme inachevé à la profession et passer le témoin aux mains d'autres énarques qui seront plus ou moins conciliants à défendre notre cause.
En attendant, l'espérance alimentée par tout ce petit monde aura une fois de plus eu raison du peuple et d'une paix sociale savamment conduite.
C'est donc à nous de poursuivre le combat plus durement, en tenant compte de nos erreurs stratégiques passés.
Passé qui nous à montré, que ce n'est pas en ouvrant le dialogue avec des tables rondes, des répits ou autres stratèges d'enfumage, que l'on pourra faire valoir des revendications.
Mise à part une carotte devant le bec pour nous faire croire que la fin de la famine est proche, on obtiendra jamais rien d'eux par la médiation ou autres diplomaties cotons.
Sur ce quinquennat, seul la fronde d'un Député courageux restera mémorable pour la profession et je la salue.
Tout le reste n'aura été qu'illusoire.
Aux armes citoyens, continuons le combat à l'unissons.
On ne peut pas perdre ce que l'on a pas.